mercredi 8 octobre 2008

L E P O U V O I R E T L’ A R G E N T

Toute ma vie j’ai combattu le pouvoir et l’argent sous toutes ses formes, je me suis rebellée sans cesse contre eux. Ils ont été la source de tous mes malheurs, ils m’ont enlevé les personnes que j’aimais le plus. Je connais tout le mécanisme du pouvoir et toutes les perversions de l’argent. L’humanité pense que c’est le sexe qui domine le monde mais c’est une ineptie. Le sexe est la drogue qui maintient et conforte l’homme au travers de son pouvoir et de sa domination. Il est bien clair qu’il n’existe pas de milieux sociaux privilégié au sein d’un pouvoir, toutes les classes s’y trouvent confondues…De cette manière il n’y aura pas de jaloux, pour une fois !
De nos jours les hommes pensent que le pouvoir et l’argent peuvent leur permettre de s’offrir les plus belles femmes de la terre. Mahomet avait promis qu’au paradis il y aurait de très belles femmes et que le vin coulerait à flot. Peut-être que ses dires fussent à nouveau mal interprétés et que le paradis dont il parle n’est en fait que le monde dans lequel on vit ?
Toutes les religions sans exceptions sont uniquement basée sur des interprétations, elles forment une ligne de conduite, un guide mais ne doivent jamais être appliquées à lettre sinon fatalement elles se transformeraient en erreur.
Si Dieu était venu en personne écrire un livre et raconter son histoire, aucuns êtres n’auraient eu besoin d’interpréter continuellement les paroles sacrées des Ecritures Saintes. Et du moment que l’on cherche une interprétation dans une doctrine cela nous fait comprendre que c’est réellement un guide de conduite mais en aucun cas une absolue vérité. La véritable foi se trouve dans le cœur de chacun. Celui et celle qui croit en Dieu, ne fait en vérité que croire en lui et en son affiliation avec la Source de la Création. Celui qui défend et qui se bat sans cesse en revendiquant la cause de Dieu, c’est lui-même qu’il cherche à convaincre de sa propre existence et non de sa véritable croyance.
Dieu ne s’est jamais battu contre personne il n’a fait que supporter la liberté qu’il a offert aux êtres humains mais aussi à tout autres êtres vivants. Vouloir représenter son pouvoir et parler en son nom est une grande responsabilité qu’il faut manier avec pudeur et habilité. Il représente le tout et le rien à la fois, tout ce qu’Il est appartient à chacun d’entre nous, il n’existe pas de lésés. Chacun prend en fonction de ses besoins, Il est accessible et Il distribue gratuitement, depuis la nuit des temps ses trésors et ses richesses sans condition à tous le monde sans exception. C’est la plus grande force qui existe au sein de l’infini. Il représente pour l’univers ce que l’oxygène représente pour la terre, pour nous. Il est l’oxygène et nous le respirons sans cesse, à tout instant…
Il nous a offert une planète sur laquelle il a planté une magnifique nature que malheureusement nous n’avons pas su respecter. Nous l’avons stupidement abîmée parce que dans notre concept on ne l’a jamais vraiment regardée, on a préférer l’exploitée pour les profits et l’ignorée dans sa destruction. On a jouis de ses avantages et de sa beauté sans préservé et anticiper son vieillissement. Malheureusement il n’existe pas de baguette magique ou de chirurgie esthétique pour lui redonner bonne figure et la rajeunir. La seule chose que nous pouvons faire c’est la réanimer et l’aimer car elle notre Mère qui se trouve bien fatiguée de supporter l’indiscipline des êtres.
Tous les génies qui constituent notre histoire ont eu des ambitions démesurées que nous retrouvons représentées dans divers domaines. L’ambition à vouloir être reconnu a sclérosé la bonne marche de l’évolution, les frustrations ont grandies avec l’évolution des technologies. Pendant tout ce temps les religions sont restées assises sur leurs perfections, qui les différencient encore à l’heure actuelle. Elles ne s’aiment pas mais elles se tolèrent au nom de Dieu !
L’arrogance et l’orgueil des représentant des diverses communautés ont amené leurs différentes croyances qui en réalité ne sont qu’une seule et unique puisqu’elles prient toutes les mêmes personnages et que toutes possède le dénigrement des femmes. Elles nous démontrent bien qu’elles vivent dans l’attente de savoir qui avait raison. Car c’est vraiment important de savoir qui détient l’ultime vérité. Les religions sont aussi très élitistes et il faudra impérativement qu’il y est un gagnant. Le fait qu’elles ne soient jamais arrivées à fusionner ensembles, nous démontre une solidarité exemplaire et planétaire qui nous prouve qu’elles vivent dans la plus grande et totale des compétions. C’est un pouvoir absolu que nulles d’entres elles ne veulent lâcher. Avec les années elles sont devenues politiques.
C’est pour cette raison que j’ai préférer la philosophie de Bouddha, liberté absolue et progression de sa propre personne. D’ailleurs je suis convaincue que la véritable philosophie de Jésus était plus proche de celle de Bouddha. Un amoureux inconditionnel de la Mère nature et un profond respect de tout ce qui était vivant. Tous deux avaient trouvés le vrai équilibre et le centre d’eux-mêmes. Je les aime tous les deux de la même manière, ils sont identiques à mes yeux.
Mon admiration est profonde envers de tels êtres, je les aime et les respects sans aucunes conditions. Comme il est beau d’aimer à ce degré qu’est-ce que j’aurais aimé savoir le faire. Mais il ne faut rien confondre ce n’est pas de la jalousie de ma part mais une véritable admiration. Aimer l’enseignement de la connaissance, l’aimer tellement et le transmettre juste par amour de ce qu’il représente, c’est majestueux !
Durant mes années de vies j’ai été une très mauvaise élève, ce qui m’a value d’arrêter l’école à quinze ans. Je ne comprenais pas pourquoi ils s’obstinaient tous à vouloir m’apprendre toutes ses choses inutiles. Il y avait deux branches que j’aimais réellement le français et les travaux manuels, toutes les autres branches étaient abstraites. Le cours qui m’horripilait le plus c’était l’histoire. Je me fichais royalement de ce qui avait bien pu se passer, l’avenir était devant et non derrière moi. Se lamenter sur les erreurs de nos ancêtres n’avait rien de vraiment existant. Alors, on me réprimandait me rappelant que c’était la culture.
Il ne faut jamais oublier ce qu’il s’est passé c’est une belle théorie que bien des personnes appliquent. Par contre reproduire constamment les erreurs passées c’est le propre de l’homme et de sa bonne mémoire. Les êtres humains se sont quelque peu perdus entre la culture et l’intelligence de cette dernière mais ce qui leur a le plus manquer ce fut bel et bien la compréhension de toute cette magnifique culture…
On organise des débats intellectuels, d’ordre politique, religieux, sociaux où des personnes se battent comme des chiffonniers. Chiffonniers calfeutrés derrière de magnifiques paravents présentant une bonne éducation et possédant une bonne manipulation du verbe. Mais il est tout de même très difficile de comprendre véritablement ce que l’on dit en s’écoutant parler. C’est un véritable art il faut le souligner.
Il est tout de même pas compliqué de comprendre que nous sommes tous égaux et qu’il n’existe aucunes différences entre nos cultures et nationalités. Pour quelle raison les parents n’arrivent pas enseigner cette valeur primordiale à leurs enfants ? Tant que les différentes cultures n’arriveront pas à pardonner le passé nous courrons au désastre. Des morts il y en aura encore des milliers et des centaines de milliers. Ne pas oublier c’est une bonne chose, mais ne plus reproduire en est un bien meilleur en réalité. Tant que le pardon général ne serait pas mit en vigueur rien ne changera. Il est important de comprendre que pardonner des catastrophes est une bonne manière de se pardonner à soi-même ses innombrables défauts. Qui peut prétendre ne jamais avoir fait souffrir quelqu’un ? Personne, absolument personne. En prenant l’exemple de Jésus l’histoire nous démontre que les gens l’ont tués parce qu’il éveillait et dérangeait probablement certaines consciences.
Et il n’existe rien de plus terrible que la douleur de l’éveil de la conscience. C’est une sensation abominable qui nous donne le sentiment de mourir sans mourir. C’est une sensation de vomissements, en réalité ce n’est que le réveil de notre orgueil et de notre perfection que l’on estime consciemment ou inconsciemment. Il faut l’épouser avec légèreté au moment ou l’éveil arrive. Cela ne sert à rien de vouloir fuir ses pensées, elles existent et sont réelles. Mais une chose est certaine c’est qu’elles nous appartiennent vraiment sinon il n’y aurait pas matière à les penser. J’ai très mal vécu cette expérience pour la simple et bonne raison qu’il n’existait certainement pas une personne plus immature que moi. J’ai refusé catégoriquement le monde des adultes, c’est un monde superficiel et terriblement ennuyeux.
Apprendre comment devenir prétentieux et sérieux. Apprendre comment dominer l’autre. Apprendre à être toujours le meilleur et à devenir le plus riche, la plus belle, le plus intelligent, le plus puissant et le moins drôle. Ce qui m’amuse le plus chez ses personnes c’est quand elles éclatent de rire avec ce son commercial. On n’arrive pas à savoir si ses elles rigolent vraiment ou alors, elles donnent le son d’un mauvais esprit hypocrite.
Car il faut bien admettre que le point commun de toutes nos civilisations et races confondues ainsi que les différentes religions. Ce qui les unis tous et là où ils ne font plus qu’un c’est dans leurs terribles mauvais esprits de pensées. Dans les pensées il n’existe pas de racisme, les mauvaises pensées sont universelles parce que ce sont toujours les mêmes. C’est l’envie qui déclenche une mauvaise pensée et c’est la jalousie qui actionne l’horrible sentiment de cette pensée. Mais dans le mot envie nous constaterons le lapsus en vie…
Ce qui veut dire que ce mécanisme est totalement naturel mais qu’il est impératif d’apprendre à le canaliser. Le bien et le mal sont deux états vivants à l’intérieur d’un seul état et devant cohabiter en parfait équilibre dans le plus grand des respects. Reconnaître sa médiocrité c’est savoir reconnaître sa véritable valeur. Pour ma part cela est très difficile aussi, en fait je sais que je peux être un véritable petit ange et un véritable monstre suivant les circonstances. Mais je ne quantifie pas le degré de ses deux polarités, je jongle avec elles suivant les situations. Car suivant qui je côtoie j’ai besoin d’utiliser mon côté noir pour me protéger d’un être fortement déséquilibré. Mais dans ce cas de figure mon action n’est pas mauvaise puisqu’elle est venue me protéger d’un fort sonné. L’action de nos polarités est bien compliqués c’est le même principe à savoir si le Paradis se trouve au dessus de notre tête, dans le ciel ou sous nos pieds de l’autre côté de la planète dans l’autre partie du ciel.
C’est à cause de la dualité entre nos deux polarités que nous vivons en parfait déséquilibre. Les religions nous ont contrainte et forcer sous la terreur à faire un choix entre ses deux polarités sans nous en donner la connaissance. Ce qu’elles ont fait au travers de l’histoire correspondait à ce principe. Prenez une hache et tranchez-vous en deux. Jetez le mal et gardez le bien, ce qu’elles ont oublié de dire c’est qu’entre ses deux temps et au travers de cette action, l’individu est décédé. C’est un pâle reflet de l’histoire des guerres de religions. L’intolérance due à une terrible peur du mal à pousser la perfection du bien dans la maladie de l’élitisme, du snobisme, de la bourgeoisie et tout le reste qui va avec. Mais ce qui qualifie le mieux les religions, c’est le mot « PERFECTION ». Ce à quoi je leur répondrai : « Le comble de l’ignorance est d’avoir pu croire et de croire encore que l’on peut être parfait ! ».
Il y a une autre chose que j’ai bien compris avec les perfectionnistes, ils m’ont fait verser beaucoup de larmes pour que j’arrive à sortir le mal être profond du au fait d’avoir supporté autant de perfection. « Il n’existe pas d’amour dans la perfection, la seule forme qu’il puisse paraître c’est l’illusion que cette perfection puisse surpasser l’amour. C’est l’intellectualisation de l’idée que le perfectionne se fait sur l’amour, qui lui donne le besoin de croire qu’il a réussis à le maîtriser ».
Cette expérience je l’ai vécue au travers du bouddhisme à force de travailler sur moi-même je me suis enfermée dans une bulle et je suis devenue avec le temps psychorigide. Cette expérience était pour moi instinctive je me suis rendue compte que vivre dans la vérité faisait en sorte que le soir je dormais sans l’ombre d’une mauvaise pensée. Inconsciemment j’ai déclenché un confort parfait de ma conscience. Puis il y a des agissements et des comportements qui laissent transparaître à d’autres un comportement supérieur aux leurs. Car malheureusement certains sont de vrais ignorants. Ils jugent sans même comprendre pourquoi ils jugent leurs semblables. Le jugement est la résultante d’une ignorance et d’une incompréhension d’un agissement ou d’un comportement chez l’autre. C’est pour cette raison que les psys existent, car eux ils ont fait des années d’études pour expliquer aux autres leurs propres défaillances.
Les pathologies émanent de la dualité dans laquelle on vit. On nous force constamment à prendre position entre un état et un autre état. C’est l’émotion qui enflamme une position. Prendre une position dans un parti prix, résulte d’une ou de plusieurs blessures de sa propre expérience. C’est à partir de ses blessures que se construisent les jugements. Ils existent plusieurs sortes de blessures, celles que nos parents nous transmettent et celles vécues dans l’expérience de l’existence. Toutes ses blessures s’accumulent au fil des années. L’accumulation est tout à fait normale puisque les êtres se positionnent en victime et jamais en bourreau. Mais en réalité nous possédons ses deux visages, une face découverte et une face cachée. Une face noire et une face blanche, difficile de l’admettre et c’est à force de se voiler la face que l’on en devient prétentieux et hautains, arrogants et méprisants, en fait on devient un gigantesque frustré et de plus peureux. Mais de quoi avons-nous réellement peur ? Des autres ou bien de nous-mêmes ? On se croit parfait parce que l’on ne reconnaît pas son masque noir, alors que c’est de soi-même dont on redoute le plus. Ses mauvaises pensées qui viennent et reviennent continuellement dans la tête. Heureusement on peut les dissimuler parce qu’elles sont silencieuses, mais en revanche, elles nous entraînent dans la perversité d’avoir réussis à penser à de telles horreurs. Penser à voix basse est la pire chose qui existe car des mauvaises pensées contribuent à un déséquilibre de son être. Dévoiler des mauvaises pensées à voie haute permet d’évacuer le mauvais purin de cette pensée et de soulager sa conscience en la libérant. C’est une forme d’acceptation et de dérision dans le grotesque d’une mauvaise pensée.
L’éducation surtout la bonne éducation a créé une illusion, les bonnes manières qui ont entraînées de nombreuses mauvaises pensées. Car retenues par l’éducation ses mauvaises pensées se sont accumulées développant d’innombrables frustrations. Il est impératif de comprendre les deux polarités du vocabulaire, la manière douce et polie et la manière forte et grossière. Il y a tout de même une différence entre la manière de dire : « tu es vraiment méchant » et la manière plus brutale de dire : « t’es vraiment un gros con ! ». Il y a manière et manière, ses deux formes de vocabulaire ne s’adresse pas spécialement à une échelle sociale. Le bien éduqué appliquera la première formule mais pensera dans un même temps à la deuxième, tandis qu’une personne un peu plus brutale choisira la deuxième formule tout en pensant vraiment à ce qu’il dit. En fait nous sommes face à un hypocrite et un courageux ou pour certain un inconscient.
Qu’est-ce qui fait qu’une personne n’a jamais peur de dire ce qu’il pense ? Il y a deux facteurs à tout cela soit la personne à une perte de contrôle dans une émotion et ne se rendra pas compte de ce qu’elle dit, elle perdra la maîtrise. Soit un autre cas de figure ne possédera aucuns intérêts et formulera sa pensée profonde. Pour ma part je fais partie de ses personnes qui ne connaissent aucunes formes de diplomatie, elle représente à mes yeux le bouclier des hypocrites et je n’ai voulu concevoir un quelconque effort envers les autres sur ce point. Bien entendu ce comportement possède son prix celui d’être seule, mais pas hypocrite. C’est un point qui se discute mais malheureusement personne n’à jamais vraiment souhaiter en discuter avec moi. Puis dernièrement le parrain de ma fille m’a dit quelque chose qui me percuta : « La diplomatie est certainement une manière hypocrite de dire ce que l’on pense, mais il faut que tu comprennes que c’est aussi une forme de respect ». Pour la première je me trouvais devant une situation qui m’interpella et me laissa dans toute ma réflexion. Peut-être est-ce vrai ? Cet aspect ne m’avait jamais effleuré mais il m’interpella réellement.
Il est vrai que le fait de toujours dire ce que l’on pense vraiment, sans en posséder le moindre tact, peut faire vraiment mal à la personne qui prend ses paroles. Maintenant si j’arrange mes pensées au travers de mes paroles qui seront erronées, quelque part cela fera de moi une menteuse et je continuerais d’entretenir silencieusement le vrai sens de ce que je pense. En contre partie je l’aurai épargné, mais si je suis arrivée au stade de penser des choses aussi brutales qu’est-ce que cette personne à suscité pour que j’en arrive à de telles pensées. Cela veut dire qu’il a eu des propos ou une attitude qui a déclenché chez-moi une ébullition nerveuse. Lui non plus n’a pas prit en considération le respect qui devait tenir envers moi, c’est toujours le système du « cause à effet » ou du chien qui se mord la queue.
Si par exemple on dit à une personne ce que l’on pense dans l’unique but de la faire progresser et en même temps de se faire progresser soi-même, afin de vaincre ses craintes et ses peurs, cette action serait bénéfique pour tous le monde. Mais à nouveau nous devrions être tous placé sous l’effet de la sagesse pour pouvoir appliquer ce genre d’attitude dans le seul but de progresser. Autant dire qu’il est bien mieux de continuer d’être de bons hypocrites cela évitera de nouvelles guerres. Peut-être qu’un jour, à un autre stade d’évolution les êtres arriveront dans une parfaite alchimie à se faire progresser les uns les autres juste par amour et solidarité. Pour ce faire il faudra que le pouvoir de l’argent n’existe plus. Ce sont ses énergies de l’argent qui empêche les hommes d’être raisonnables.
Heureusement, l’ère de l’argent arrive à sa fin, l’enseignement du matérialisme va connaître sa fin, car si les hommes continuaient dans ce cheminement ils finiraient par détruire la planète. Bien qu’ils aient oublié qu’elle ne leur appartient pas. C’est l’illusion de l’argent et du pouvoir de ce dernier qui leur a donné l’impression d’en être propriétaire…
Il ne sert à rien de jeter la pierre à son voisin, l’erreur que l’on pourrait imaginer n’est en fait pas une erreur c’était juste une phase de l’enseignement, une étape de son évolution. Le Créateur des êtres humains à prévu une grande évolution puisqu’il a créé un cerveau d’une capacité de cent pour cent et à l’heure actuelle nous en possédons entre trois et sept pour cent de ses capacités. Comme il n’existe pas de hasard l’enseignement que connaîtront les êtres humains sera encore bien long puisqu’il reste environ 97 % ou 93% de capacité cérébrale à combler. Un enseignement évolutif à apprendre et à comprendre. Comme quoi l’éternité tout d’un coup peut prendre tout son sens.
En fait la progression des capacités cérébrales se fait naturellement, elles vont de paire avec l’évolution des êtres humains. Plus les êtres humains vont progresser dans leur Moi profond en équilibrant toutes les énergies qui entourent les êtres, plus les capacités augmenteront en simultanés. Bien entendu cela prendra des années, des centaines d’années et même des millénaires. Il n’y a pas de compétition dans l’enseignement de Soi-même, en fait la seule compétition est avec soi c’est un travail de tous les jours et l’important est de savoir se donner beaucoup d’amour et de respect. Oscar Wilde dirait : « S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie ». Il n’y aura pas besoin de grands génies pour faire progresser les autres au travers de soi, il faudra juste avoir beaucoup d’amour à distribuer. S’aimer c’est donner, et donner c’est pouvoir et savoir recevoir. L’amour sauve, explique et pardonne tout, c’est le meilleur des médicaments et la plus grande et la plus belle des sensations. On peut tout aimer, pas seulement un homme, on peut aimer des tas de choses différentes. Vivre une histoire d’amour peut correspondre à une minute d’émerveillement en regardant le Soleil par exemple. Une seconde d’émotion intense et voilà un moment d’amour est passé. Un moment où l’on a tout oublié on n’a fait que se sentir bien. L’amour c’est simple, c’est unique et c’est magique…
Durant ma vie, j’ai connu des multiples facettes de l’amour, le plus surprenant c’est que quand on aime vraiment la notion du bien et du mal n’existe plus. Même si la personne n’est pas des plus recommandables, l’amour fait en sorte de voir que les qualités de cette personne. Au nom de l’amour ce n’est plus un voyou mais un être fragile qui a besoin d’être aimé. J’ai connu un homme comme çà, quand j’avais dix sept ans, il était extrême, rebelle, extravagant et il aimait la vie comme personne, c’était un amoureux inconditionnelle de sa vie. Malheureusement, il avait fait des bêtises et avait connu déjà bien la prison. Un soir, je me souviens nous sortions d’un petit café et la police qui passait à côté de nous en voiture, le regardant intensément. A l’angle de la rue il prit ma main et me tira en courant, je le suivis sans trop réfléchir et tout à coup je m’arrêtai nette et je lui dis : « Pourquoi je dois courir je n’ai rien fais ! » il reprit ma main et me dit désabusé : « Tais-toi et court ! ». C’est cela qui m’amusait, me trouver avec des êtres opposés à moi dans l’action mais complémentaire dans les pensées. C’est la rébellion que j’ai aimé par-dessus tout, cette notion de pouvoir comprendre que si on veut vraiment quelque chose par amour de ses convictions tout est possible. L’impossible n’existe plus il s’efface comme par enchantement, car l’amour soulève des montagnes et déplace les faux conditionnements. Une personne qui a connu véritablement le sens de l’amour comprendra qu’avec l’amour tout peut se réaliser et que même l’impossible devient l’utopie du possible et vice versa.
Ayant un esprit anarchiste et rebelle comment aurai-je pu trouver l’adrénaline avec des cols blancs. Et ce n’est pas faute de les avoir pratiqués mais c’est un autre monde. Bien qu’à mes yeux sur certains aspects ils ne possèdent pas grandes différences avec des voyous. Les cols blancs sont tout aussi voleurs mais ils le font en toute impunité et légalité parce qu’ils sont positionnés dans de grandes entreprises ou à des niveaux encore supérieurs. Et sous prétexte qu’ils donnent du travail à beaucoup d’individus cela leur autorise les vols, qu’ils commettent parce qu’ils font tourner le système. Après on trouve les mafias, celles-ci font le même travail que les cols blancs mais comme elles gagnent beaucoup d’argent elles déplaisent aux autres escrocs. En fait il n’existe pas de plus mauvais les uns que les autres, ils possèdent le même état d’esprit celui d’aimer le pouvoir et l’argent. La seule différence c’est que le col blanc sort de l’université et le mafieux est né sur le trottoir. L’un nourrit les plus éduqués et l’autre nourrit ceux qui ne peuvent s’en sortir autrement. En fait il y a le patron des éduqués et le patron des opprimés, c’est une société à deux vitesses et les personnes travaillant dans ses deux différents modèles possède un point commun, ils sont unis par le : « je dois vivre et survivre ». Quand aux politiciens on n’en parlera même pas, car eux sont comparables aux parrains de la mafia qui s’autorise le droit de tuer au nom du pouvoir qu’il leur a été conféré. C’est extraordinaire de voir comment le pouvoir définit les droits humains. Ce ne sont que des droits basés sur la puissance monétaire et le pouvoir politique. Mais la liberté ne possède pas de politique, ni de pouvoir d’argent, la vraie liberté est déjà de ne pas devoir faire partie d’un quelconque pouvoir, car ce pouvoir représente une dépendance et toutes dépendances est une violation à sa propre liberté.
Alors, j’entends déjà des mots qui disent que c’est de la démagogie, je ne le pense pas du tout, simplement parce que le modèle qui existe sur cette terre est modèle qui comprend de nombreuses lacunes. Toute l’évolution a été basée sur la peur des autres et la peur de perdre ses acquits. Personnellement, je pense que la plus grande peur des hommes restent la mort, et c’est à cause de cette peur de la mort que le temps fut mit en place. Mais le temps à compliqué l’approche de la mort par le simple fait qu’elle l’a chronométrée. Cette peur à accéléré le temps en poussant les êtres à produire plus de temps en donnant encore plus de leur temps. Ils se sont privés de temps libre, plus de temps pour partager, plus de temps pour flâner, plus de temps pour écouter, le temps nous a laissé juste le temps de nous reposer quand il nous reste un peu de temps. Après quoi court-on ? Un salaire, une renommée, un challenge, une belle maison, une belle voiture, de beaux bijoux et des millions d’autres choses que ce magnifique temps à pris le temps de fabriquer. Et comme le temps possède le temps il a encore réussi à faire perdre le peu de temps qu’il reste à rien faire à cause de la fatigue due à avoir couru trop vite parce qu’il n’y avait plus de temps pour finir ce qui devait être fait !
Les êtres ne peuvent pas lutter contre le temps car il est immortel et éternel, sur terre personne ne peut posséder autant de temps que lui. Il est le maître du temps et c’est lui qui orchestre le tout. L’univers appartient au temps et le temps appartient à l’univers, en tout cas tout deux on prit le temps de faire les choses correctement. Mais ils ne peuvent pas composer l’immortalité et l’éternité sans le principal élément de tous les éléments. Car si cet élément n’existait pas rien n’aurait pu être créé, on pourrait l’appeler le sixième élément, mais c’est impossible car il fallut qu’il soit le premier élément du tout, et il se nomme L’AMOUR.
Sans amour rien n’aurait pu être possible, aucunes créations n’auraient pu voir le jour ou la nuit si l’amour n’avait pas été la base du commencement. Aujourd’hui tout continue d’être régi par l’amour, même le pouvoir et l’argent possède le sentiment de l’amour. On peut aimer l’argent, les bijoux, les belles voitures, et tout ce qui représente les créations matérielles mais il ne faut pas sous estimé la puissance de l’amour car elle possède aussi une face cachée celle de l’illusion. L’amour est androgyne comme tout ce que Dieu a créé, toutes choses possèdent un côté positif et un côté négatif mais dans les deux cas tout reste basé uniquement sur la base de l’amour.
Alors comment pourrions-nous vivre sans hiérarchie ? C’est assez simple il faudrait avoir la totale connaissance et maîtrise de soi-même, de cette manière personne ne serait néfaste pour personne. Il n’y aurait plus de compétition mais une véritable interaction et interdépendance dans l’évolution. Tout serait harmonieux et les gens passeraient plus de temps dans leurs hobbies et leurs passions. Le travail ne s’arrêterait pas car l’évolution n’est jamais finie tant que l’univers ne sera pas réalisé. La terre représente un seul monde, mais il en existe des milliards et des milliards d’autres, qui doivent aussi passer par la réalisation. L’infini est infini, personne ne pourra jamais le définir, par contre le monde de Dieu a compris que le seul moyen de lui donner une limite était d’harmoniser les mondes et les êtres dans l’amour inconditionnel et le respect le plus profond. « L’infini ne peut être défini uniquement par l’amour »…
Alors, maintenant je poserais cette question : Qui a le droit de condamner l’amour ? Uniquement Celui ou Celle qui ne l’a pas connu et bien entendu pas vécu. Alors, je vous le demande combien êtes-vous dans cette situation ? Je ne préfère même pas le savoir, j’ai juste à regarder autour de moi et le bilan est désastreux et très triste. Le manque d’amour est la base de toutes les frustrations, sortir de ses frustrations ne possède qu’une seule et unique route celle d’apprendre à aimer. C’est très difficile l’amour, de plus il n’existe aucune école, ni université pour apprendre à ressentir une émotion pure. Pour ma part, cette émotion m’a tellement manquée qu’à partir de ce manque je m’en suis faite une quête celle de vivre un jour mon histoire d’amour. Je suis fatiguée de la connaître et de la ressentir sans avoir la présence physique de celui qui comblera le vide de mon cœur.
Quoi qu’il en soit, l’espoir à toujours donné la force aux êtres de se dépasser, et s’il n’existait plus d’espoir il n’existerait plus d’évolution possible. De ce fait tous les espoirs sont permis !

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