L A D E U X I E M E G U E R R E M O N D I A L E
C’est un sujet bien difficile à traiter encore à l’heure actuelle, c’est un événement trop jeune pour pouvoir en parler avec un certain détachement. C’est un sujet dont on n’aime pas parler. Mais pourtant soixante et un ans après, ce n’est plus une parjure de le traiter une fois pour toute avec une analyse provenant uniquement du cœur. J’adresse déjà un pardon sur le fait que je risque d’offenser certaines blessures, mais certaines fois la guérison de celles-ci doit repasser par l’épreuve de ce qui l’a causée. Vous aurez le droit de me haïr, de m’insulter, mais n’oubliez pas que l’on a toujours besoin d’un miroir pour nous renvoyer notre propre médiocrité, celle de l’esprit… Je ne supporte pas que les événements restent volontairement ou involontairement incompris. Même dans le pire il y a toujours une vérité. Vérité dont on ne souhaite pas entendre parler. La remise en question est bien trop violente afin, mais il faut une bonne fois pour toute, arriver à la mettre en avant et accepter de la regarder en face une fois pour toute afin d’en assumer l’entièreté de ses responsabilités !
L’histoire n’a jamais été une passion à mes yeux, quelle importance cela pouvait-il d’apprendre des événements qui n’appartenaient à mon temps ? C’est pour cette raison qu’étudiante j’avais réussis à troquer mes cours d’histoires contre des cours de dactylographie. Argumentant que la dactylo me permettrait de trouver du travail plus tard, tandis que l’histoire ne me servirait à rien du tout. Mes lacunes de cette branche me sont innombrables, et c’est une véritable chance car elles vont me permettre d’étudier ce sujet sans aucuns fondements historiques, une analyse naïve et dépourvue d’un quelconque intérêt. C’est bien la preuve que le hasard n’existe pas !
Il faudra arriver à comprendre que cette guerre a été inutile, elle aurait pu avoir un déboucher positif mais les frustrations des êtres humains et leur opportunisme ont fait de cette guerre, rien d’autre qu’un pavé dans une mare. Personnellement, c’est un événement qui ne me choque pas plus que cela. Le seul fait qui me meurtri c’est face à celui que ce sont des innocents qui ont péri au lieu des vrais coupables, c’est une question que je me suis énormément posé durant cette étude, mais comme je suis une acharnée j’ai tout de même élucidé cette énigme à savoir : Pourquoi Hitler s’en est pris à des innocents ?
C’est ce que je vous invite à venir parcourir tout au long de ce chapitre, il ne faut pas craindre des choses que des êtres humains ce sont autorisés à nous faire croire, comme l’existence diabolique de ce fameux mal. Peut-être, êtes-ce eux les plus peureux en définitif ? Car le mal rend peureux tout simplement parce qu’il est un sujet tabou et inconnu d’une humanité entière, passant son temps à le juger et à le fuir.
La première fois que je me suis mise à étudier Hitler c’était pour assouvir les souffrances que mon mari m’infligeait au travers de nos enfants et devant les tribunaux. Pour anesthésier cette douleur qu’il nous imposa, il fallait que je prenne un adversaire à la taille de ma souffrance pour comprendre et lui pardonner ce qu’il nous faisait subir. Mon choix s’est naturellement posé sur Adolf Hitler.
Quand on traite un sujet tel que celui-ci, le plus important à mes yeux est de croire et d’avoir une confiance absolue en moi. Si je comprends en ressentant des émotions et que j’écris sans porter de jugement cela voudra dire que je suis dans la vérité. Si le doute s’installe en moi cela voudra signifier que je m’égare de mon épicentre intérieur. Que la peur du regard des autres vient perturber mon analyse mais je ne dois jamais perdre vue que mon épicentre se nomme amour et liberté. Dans cette liberté se place le véritable sens de la liberté d’expression et celle de la pensée, elle est gratuite et reste dans le cas présent juste une analyse.
Nous évoluons et nous vivons dans une société qui veut nous laisser libre dans l’expression mais qui bien souvent rappelle à l’ordre ceux ou celles qui ont dépassé certaines limite en les pointant du doigt et en les jugeant. Je ne sais pas si cette liberté d’expression est vraiment réelle dans notre société contemporaine. Souvent elle me donne l’impression qu’elle est dictatoriale car elle est trop souvent manipulée. A d’autres moments je me dis que ce sont les hommes qui mettent un obstacle à la liberté de certaines pensées afin de préserver des vérités qui leurs font tant de mal. Quelqu’un qui se défend ou qui attaque est une personne qui est inévitablement touchée dans son orgueil. Bien des fois ce sont des personnes qui ont tant de chose à cacher et qu’elles sont prêtes à tout afin de ne pas être dévoilées, certaines fois encore elles iraient jusqu’à tuer par peur d’être découverte. Mais une chose est certaine c’est que le monde tourne à l’envers parce que les êtres humains en ont décidé ainsi et qu’il continuera à tourner dans ce sens tant que ses mêmes êtres penseront que la terre tourne dans le bon sens. Mais comment savoir où se situe le bon sens ?
Pour comprendre ce qu’est le sens il suffit de comprendre ce modèle. Notre terre est une planète qui se trouve placée dans l’univers. On sait qu’elle tourne au tour du soleil. Comme nous ne possédons pas de carte géographique de cet univers on ne sait pas où se situe son épicentre, où si vous voulez le magnifique ciel bleu qui se trouve placé sur notre tête et qui est notre seul point de repère à l’heure actuelle. En réalité il est le chapeau de notre monde et nous permet de nous diriger et de nous positionner au travers des jours et des heures. Quand on fait une prière on s’adresse toujours à Dieu qui se trouve quelque part dans le ciel, nos yeux se dirigent systématiquement vers le haut, mais où se situe-t-il réellement ? Est-ce sous nos pieds ou sur notre tête ? Nous n’en savons absolument rien car sans point de repère il n’existe aucun sens. De plus nous ne possédons pas la connaissance de cette carte géographique. Ce qui nous amène vite à comprendre que nous sommes dans un schéma d’une totale ignorance. Schéma d’ignorance reproduit au sein de l’évolution de nos différentes civilisations. Il serait intéressant de donner un nom à cette ignorance : « La Bêtise ». Bêtise universelle qui nous prouve une fois de plus que même pour elle il n’existe plus aucun sens.
Certains penseront que je suis prétentieuse ou inconsciente, certains autres verront dans mes paroles l’image d’un petit moineau à pouvoir penser et écrire des choses pareilles, mais il y a une règle d’or dans tout enseignement. Si on n’ose pas prendre le risque de dire ce que l’on pense même si ses choses doivent blesser certaines âmes, les consciences stagneront éternellement, car elles resteront de grandes peureuses. Même si mes mots peuvent déclencher des réactions violentes il est important de savoir que je l’exécute afin d’éveiller des consciences sclérosées. Certains penseront que je suis mauvaise ou méchante, mais ce que j’actionne je le réalise en toute âme et conscience. On m’a toujours dit : « C’est un mal pour un bien » mais un dicton doit toujours être complet et il faut y rajouter c’est un bien pour un mal aussi. C’est toujours l’effet boom-rang dans tout et pour tout.
Il y a des mots qui reviennent constamment de la part de mes proches dans nos sujets de discussion. A la question : « Mais qui es-tu pour dire tout çà ? », « Tu n’es personne ! », « C’est ta vérité, c’est juste une vérité parmi tant d’autres »…
Alors, au travers de ce que mes proches pensent, je leur répondrais simplement que toutes leurs formulations sont exactes. Mais je tiens à leur expliquer que le mot liberté, amour, vérité ne possèdent qu’un seul et unique sens tout comme le mot paix. Maintenant si ses mots peuvent paraître abstraits et illusoires cela reste la conséquence d’une mauvaise interprétation ou d’une élitiste perception aboutissant sur une incompréhension totale de ce qu’elles signifient réellement. Dernièrement une femme mûre me parla d’un grand philosophe bouddhiste et me dit : « Que cet homme était le plus grand et celui qu’elle préférait ». Je m’en suis amusée car ce genre de personne représentant la branche des intellos bâtissent leur savoir sur les analyses des autres. Dans cet exemple il faudrait tout de même répondre que le plus grand philosophe bouddhiste est et restera Bouddha lui-même. Si, maintenant des personnes n’arrivent pas vraiment à expliquer ou à comprendre ses diverses interprétations de la part de ses divers analystes. Cela n’empêchera pas de laisser cette philosophie à son concepteur. On ne peut pas bâtir un génie sur quelque chose d’instaurer la seule chose que l’on peut pratiquer c’est d’essayer de le faire évoluer dans un sens plus actuel et d’essayer de l’appliquer dans sa propre vie et dans son quotidien. Les personnes qui se penchent sur des analyses et des interprétations d’une philosophie c’est avant tout, un travail pour eux-mêmes de manière à les faire progresser. Par la suite ils partageront le fruit de ce travail avec des autres êtres pour faire avancer à leur tour une future évolution.
Pour commencer ce développement, je prendrais une célèbre citation de Malraux au sujet de la deuxième guerre mondiale, du nazisme et des camps d’extermination :
« Le camp parfait eut été le camp des enfants. Faute de mise au point, on les tuait avec leurs parents. Il y a quelque chose d’énigmatique et de terrifiant dans la volonté de déshumaniser l’être humain, comme dans les pieuvres, comme dans les monstres.
L’idéal des bourreaux étaient que leurs victimes se pendent d’elles-mêmes… Pour la première fois, l’homme a donné des leçons à l’enfer ».
Ce qui me frappe le plus dans cette citation est : Faute de mise au point… A mon avis il n’y a jamais eu de faute de mise au point et pas seulement sur cet aspect mais au travers de toute l’histoire de la seconde guerre mondiale.
Le fait le plus frappant dans toutes ses éliminations, fut cette marque de respect au milieu de l’indignation des actes, que des orchestres de musique accompagnaient les martyres de l’Holocauste à la mort. Je ne suis pas certaine que ce genre d’attitude se retrouve quelque part dans d’autres faits de l’histoire. Est-ce une forme de folie ou de mégalomanie d’opter pour ce genre de comportement ? Ou alors, serait-ce une forme d’humanisme au travers de l’abjection de ses exterminations ?
Il m’est souvent arrivé de me demander qu’est-ce qui différencient un inconnu et un chef d’état d’un meurtre ? En fait qu’est-ce qui différencie le courageux de l’hypocrite. L’inconnu soit le courageux commet son meurtre de ses propres mains, tandis que le chef d’état, l’hypocrite ordonne aux autres de commettre les crimes à sa place. Ce qui différencie le nombre de personnes tuées entre les deux est juste l’échelle du pouvoir qu’ils ont obtenue. Il est bien clair que celui qui possède juste une arme ne tuera jamais des centaines de milliers de personnes. Tandis que celui qui possède des armées tuera un nombre en proportion de la capacité de la puissance de celle-ci. Le premier se nommera démence et le second se nommera génocide, guerre, il sera placé sous la gouverne de l’intérêt général.
La réalité reste tout de même différente pour ses deux individus, l’un aura vraiment tué et l’autre n’aura que penser à tuer. Ce n’est pas seulement l’histoire d’Hitler mais c’est aussi celle de tous les chefs d’états qui ont donné l’ordre de tuer. Sur un plan spirituel un karma individuel devient dans une guerre un karma collectif. On divise l’action en plusieurs cessions.
La toute première cession est celle sur laquelle on base sa politique afin d’être élu. En général le parti sonde l’état d’esprit du peuple afin de placer dans sa campagne le besoin et la demande de ses électeurs.
Dans l’analyse de la phrase : L’idéal des bourreaux étaient que leurs victimes se pendent d’elles-mêmes ». C’est un mécanisme de l’esprit, l’idéal d’un bourreau est bien de voir ses victimes se pendre, car comme son esprit est lâche, il préfère punir sa véritable misère au travers du destin des autres. Il ne possède pas vraiment de courage, ni de cœur cet esprit, il s’est construit sa propre prison. Prison qui ne possède pas de clé, parce qu’il n’est pas conscient que la clé est son cœur. Tout est pour lui insensible et indolore, il n’est plus du tout conscient de ses actes. Ce n’est pas de la folie, mais une méconnaissance de son être, car il ne le sait pas. Une triste et désolante illusion.
Il ne faut pas oublier qu’avant la deuxième guerre mondiale il y eut la première qui fut encore bien plus barbare que la seconde. Entre ses deux guerres il faut aussi prendre en considération le crash boursier de ce fameux jeudi noir de 1929. C’est aussi ce crash boursier qui eut en conséquence direct la deuxième guerre mondiale. Quand une crise économique éclate et celle-ci fut tout de même la plus importante de toute l’histoire financière pour redresser une situation il faut créer une nouvelle source de revenu à la taille de la catastrophe présente. La deuxième guerre mondiale est venue combler les pertes de ce fameux jeudi noir. Nous sommes toujours dans la cause à effet une situation donne naissance à une autre. Cette guerre fut été à la grandeur du déficit de ce fameux jeudi noir.
Hitler n’est pas arrivé tout seul au pouvoir, sa personnalité avait été déjà chichement évaluée et les investissements pour sa campagne mis en place. Ce n’est pas avec sa rente d’orphelin et sa peinture qu’il aurait pu s’offrir une campagne politique. Ce qui est important de comprendre ce n’est pas le fait de minimiser les actes d’Hitler mais de démontrer l’imposture et la perversion de toutes ses personnes qui ont profité de ses crimes pour s’en mettre plein les poche. Oh ! Pardon pour redresser une économie…
Alors en revenant sur la première phase du karma collectif, les premiers qui furent prit dedans étaient les électeurs. Il ne faut pas dire qu’ils n’étaient pas au courant car quelques années avant son élection il avait écrit un livre « Mon combat », livre dans lequel il donnait le ton de ses intentions.
C’est un peu le même schéma que pour l’élection de Bush, la première élection peut être une erreur, mais voter pour lui une seconde fois ne comprend plus du tout d’erreur c’est une responsabilité dans son choix individuel et son karma devient alors de la même manière un karma collectif.
Le karma est naturel, quand on émane une pensée ou que l’on fait une action bonne ou mauvaise, on utilise des énergies auxquels on se connecte. Que ce soient de mauvaises ou de bonnes énergies nous y restons connectés pour toute la durée de temps correspondant à notre action. Pour se détacher des énergies négatives il faut impérativement mettre une bonne action en route pour se reconnecter dans le positif, c’est grâce à ce balancier qu’un pseudo équilibre peut prendre place. Le problème de la victimisation entraine automatiquement de la culpabilité, on reste en permanence connecté aux énergies négatives ce qui entraine bien souvent des maladies et des dépressions nerveuses. Quand l’on décède dans des énergies négatives il faudra impérativement revenir dans une autre incarnation pour rééquilibrer ses énergies, c’est cela même le propre du karma. Les lois des réincarnations sont naturelles, tout est naturel. C’est pour cette raison que les épreuves sont différentes des unes des autres. Souvent quand on voit d’horribles drames comprenant des injustices terribles on se demande pourquoi le bon Dieu peut laisser faire des choses pareilles s’Il existait ? Il ne peut rien y faire, et c’est là que le vrai sens de la liberté s’applique, tout est encore et toujours naturel. Tout ce qui vous paraît injuste, en réalité est totalement juste et c’est nous-mêmes qui l’avons créé. Ce sont toujours les actions qui entraînent des conséquences bonnes ou dramatiques.
Quand Bush a envoyé ses soldats en Irak, ils tuèrent des personnes innocentes et à leur tour l’Amérique perdait aussi des jeunes innocents parce qu’ils n’étaient pas conscients au présent de ce qu’ils faisaient. D’ailleurs est-ce que Monsieur Bush était vraiment conscient lui-même de ce qu’il ordonnait ? On place un homme à la tête de la première puissance mondiale, on lui remet les clés d’un tel pouvoir, est-ce raisonnable de le faire porter à un seul homme ? En est-il véritablement capable ? D’ailleurs sachez Messieurs qu’en réalité le besoin plus ou moins grand d’un quelconque pouvoir et de sa domination est toujours en relation avec un bon épanouissement de son sexe. Je l’explique afin que l’on ne me considère pas comme, une féministe.
Plus un homme possède un pouvoir, plus l’attirance qu’il émanera auprès des individus mais surtout des femmes sera attisée par la magie de ce pouvoir, les énergies déployées dans ce cas de configuration, car le pouvoir n’est rien d’autre qu’une énergie invisible, c’est une puissance virtuelle. Dans ce moment précis il se remplira d’orgueil jouissif qui lui donnera la quantification du pouvoir qu’il porte. La femme fera bien souvent confusion entre l’amour et le pouvoir et se laissera ensorceler par la sécurité qui lui laisse entrevoir. Mais je suis consciente que des femmes puissent aussi tomber sous le charme du pouvoir et puisse en abuser d’une manière similaire. Le malheur dans ce schéma c’est que l’homme consciemment, je préfère dire conscient qu’inconscient sinon cela voudrait dire qu’il serait sot de croire qu’une femme puisse l’aimer pour ce qu’il est vraiment plutôt que pour ce qu’il représente. Par contre qu’une femme puisse se trouver dans la confusion de l’amour cela est tout à fait normal aussi, car l’énergie de l’argent et du pouvoir sont des énergies qui se laissent facilement pervertir quand elles sont incomprises.
C’est à cause de cette incompréhension et de cette mauvaise gestion de ses deux énergies que l’épanouissement du sexe de l’homme ne peut être réalisable. Je suis certaine qu’il en serait de même pour certaines femmes si elles possédaient les rennes du pouvoir sur une même échelle. Bien que nous posséderions une différence dans ce cas présent, puisque nous connaissons les souffrances de l’accouchement débouchant sur les joies de la maternité. C’est une étape importante dans la vie d’une femme que celle de devenir mère, c’est la plus grande de toutes les responsabilités. A mes yeux elle est encore bien plus grande que celle de diriger un pays car dans ce rôle on prend la responsabilité de sa propre chair, tandis que dans le contrôle d’un pays on porte la responsabilité des enfants des autres ce qui ne peut en aucuns cas être comparable à sa propre chair. C’est pour cette raison que pour tenir les rennes d’une telle responsabilité il faudrait être un véritable sage et un grand humaniste. C’est un peu le même principe de la guerre, on a plus facilement tendance à envoyer les enfants des autres au combat plutôt que les siens. Bien qu’il arrive certaines fois que des hommes politiques envoient leurs propres enfants pour se battre, mais ceux-ci à mon point de vue sont encore bien plus pathétiques car ils préfèrent envoyer leur chair au combat plutôt qu’y aller eux-mêmes. Car il faudra tout de même avouer que s’il n’existe pas de limitation d’âge pour gouverner il n’en n’existera pas non plus pour se battre. Et au travers de ce genre de fonctionnement ils passeront pour des gens biens convenables et seront considérés comme courageux d’agir de cette manière en envoyant leur chair au combat. Mais c’est une illusion car si ses enfants soldats meurent leurs parents resteront toujours en vie et obtiendront toutes les sympathies des états et de leurs amis. Cette situation les placerait dans un rôle de victime et c’est une situation qui ne peut se traduire de cette manière. Il n’y a rien d’honorifique à envoyer ses enfants au combat et de se lamenter sur son futur sort. En général la responsabilité des ses jeunes personnes reviennent à leurs parents et aux gouvernements. Dans la guerre en Irak des reportages nous ont montré de quelle manière le gouvernement américain recrutait ses jeunes soldats. C’est une honte, c’est certainement une des images les plus perverses que j’ai vu ses dernières années. Offrir de l’argent pour partir se faire tuer juste pour du pétrole, c’est vraiment de la pure bêtise. Alors, si des gouvernements agissent de cette manière cela nous laisse comprendre pourquoi les peuples vivent dans la plus grande intolérance. Ce sont au gouvernement de changer cette méthode de fonctionnement. Comment peut-on accepter que des compatriotes puissent donner leurs vies pour une patrie ? On peut donner sa vie pour la chair de sa chair mais pour une patrie cela reste un pléonasme…
Depuis que mon fils est petit je lui ai enseigné qu’il fallait déserter en cas de guerre. Que donner sa vie à un asile psychiatrique n’en valait pas la peine. Le patriotisme étant une élucubration de tout premier ordre. On ne peut aller se battre avec des armes et tuer des gens que pour satisfaire un endoctrinement à un Etat. C’est un genre de secte l’armée, c’est comme la musculation on muscle de fausses neurones et on fabrique une image donnant l’impression d’être fort. Mais en réalité c’est une manière de fuir ce que l’on est véritablement, un lâche ! La fragilité de son être est cachée dans des armes ou derrière des muscles, ce qui est marrant c’est que ce genre de personnage masculin possède son miroir féminin qui est dissimulé derrière l’image de la Barbie. Durant six mois j’ai endossé le costume de la Barbie, j’ai utilisé toute sa panoplie jusqu’à la niaiserie, c’est très confortable les premières semaines tout est léger, toutes les personnes vous aiment car vous n’attirez que des personnes possédant ses énergies, mais à force cela devient très compliqué car on s’ennui. Il n’existe pas de problème c’est le bon aspect de la chose, mais il n’existe pas non plus de réflexion, c’est pour cette raison que l’on s’ennui parce que l’on stagne !
On ne peut faire don de sa vie à son pays car qui pourrait croire que l’on peut sacrifier une existence à un mensonge ? Si un pays était basé sur une harmonie parfaite et un respect mutuel du peuple et de ses dirigeants peut-être que dans ce cas précis cela pourrait être envisageable, mais c’est encore une utopie car dans un tel cas cela voudrait dire qu’il n’y aurait plus besoin d’armée car le pays serait en parfait équilibre donc en paix. Il faut impérativement que les jeunes comprennent qu’il existe d’autres issus que celle de l’armée et de son pouvoir. Tuer des personnes est un acte bien décevant qui comporte dans un schéma plus scientifique bien des pathologies, parce que l’on peut parler de maladie quand on arrive à tuer de sang froid des personnes innocentes. C’est bien les images que la télévision nous ont montré durant la guerre en Irak entre autre. Quand un fort sonné tue quelqu’un dans une société anodine il est directement enfermé. Mais quelle différence y-a-t-il entre un soldat qui tue des dizaines de personnes et un inconnu qui tue un autre inconnu ? En réalité il n’y en a pas, sur un plan spirituel ils sont tous deux sur la même échelle d’erreurs. L’excuse sera l’illusion dans laquelle ils se sont placés et dans laquelle ils ont commis l’action. Mauvais conditionnement ils ne connaissent malheureusement pas d’autres fonctionnements. Le tout amplifié par les diverses frustrations. Mais le plus contestable c’est que l’humanité accepte que des soldats tuent des peuples mais cette humanité n’accepte pas qu’un individu en tue un autre. Savez-vous pourquoi ? Parce qu’une guerre rapporte des intérêts surtout économique, ce qui permet aux peuples de continuer à consommer et à se faire plaisir au travers des loisirs. Tandis qu’un fort sonné ne rapporte rien à personne il ne fait que coûter à l’état, de ce principe les peuples souhaiteraient leur élimination. Car il est inimaginable pour le commun des mortels de sacrifier ses plaisirs au détriment d’un malheureux. Ce n’est pas très élégant ? ! La vie de milliers d’irakiens pour faire des tours en voiture ou pour un petit week-end en avion. Que représente la vie d’un être humain de nos jours ? Cela dépends de quel côté on se place. Si c’est pour du profit on peut en tuer cinquante ou cent millions mais si c’est pour des pertes de gains, et bien le plus incroyable c’est que les êtres humains pourraient en tuer des centaines de millions tant qu’ils continueront à engranger des profits et directement du plaisir.
Tout est primitif réalité, on a peur du diable mais ce diable est représenté avec une grande fourche et une longue queue et des petites cornes sur la tête. C’est une image ancestrale et ridicule. Personnellement, je vois derrière ce diable l’image d’un homme cocu. Une paire de corne sur la tête et une longue queue sont très représentatif d’un tel symbole. Ce qui veut dire qu’il existe une histoire derrière toutes ses images symboliques. Mais celle-ci je la laisserais de coté car je ne possède pas la clé de cette histoire.
« Le bien et le mal, la vérité et le mensonge, la fidélité et l’infidélité, la guerre et la paix. Le mal étant devenu un art de vivre et le bien de la démagogie, il leur reste un point commun qui les unit à tout jamais. Ils resteront tout deux un grand sujet de philosophie ».
Alors pour en finir sur l’épanouissement du sexe, plus la femme conviendra de briller au travers de ce que représente le pouvoir de son homme plus cet homme sera conscient que l’épanouissement de son sexe s’éloigne de plus en plus loin de lui. C’est à ce moment que débuteront de très grosses frustrations portant l’homme dans le mépris de lui-même. Et plus ce mépris sera grand et plus sa sexualité deviendra animal dans le plaisir juste de la chair, c’est cela même que l’on nomme la luxure…
Le plus navrant c’est que dans ce schéma l’homme s’abîme tout en entraînant dans cette spirale la femme qui se trouve à son bras. Cette action est un abus de pouvoir sur soi-même, c’est certainement la pire des manières qu’un être puisse utiliser afin de s’autodétruire. Ce n’est pas formidable le pouvoir quand il est incompris et mal dirigé.
En Suisse ce qui est agréable dans la politique qu’elle applique, c’est que le pouvoir de ce petit pays est divisé en plusieurs personnes. Ce qui est confortable pour le peuple c’est que chacune d’entre elles possède son garde fou. Si l’une de ses personnes prend des ailes les autres le ramèneront toujours à sa place. Ce que l’on ne saura jamais est-ce que cette action sera pratiquée par dévotion ou par jalousie ? Mais dans ce cas peu importe car si la jalousie empêche une déraison, pour une fois elle serait utile…
La Suisse est en ce moment un excellent modèle suite aux votations qui ont mit en place Blocher. C’est un politicien extrémiste de droite, souvent comparé à Hitler. Ce genre de situation me fait bien rigoler, la majorité le met en place et ensuite dans les diners les gens se plaignent parce qu’ils voient en lui le fantôme d’Hitler. Mais il faut arrêter de se voiler la face, nous sommes tous conscient en Suisse que nos richesses ont été bâtie sur la deuxième guerre mondiale. Il y a peu de temps un homme me rapportait la confidence d’un de ses amis qui disait : « Chaque billet que nous dépensons à l’intérieur se trouve caché des cendres juives ». Cela peut choquer mais il n’y a pas de quoi étant donné que c’est une pure vérité. Que même malgré les diamants, les belles voitures et tout ce faste que représente la Suisse à l’heure actuelle qui voudrait essayer de cacher cet état de fait ? Il faudra tout de même admettre en pure honnêteté que c’est une horrible vérité. La mondialisation ne pourra jamais nier que c’est toute l’humanité qui mange à l’heure actuelle à la même table qu’Adolf Hitler, c’est la conséquence des vases communiquant. Ceux qui n’acceptent cet état devraient renoncer à tous leurs acquits présents à ce jour. Qui est capable de le faire ?
L’enseignement de cette guerre démontre aux hommes jusqu’où la perversion peut aller. Et même le peuple juif en bénéficie aussi à l’heure actuelle. C’est certainement par inacceptation de cet état de fait que cette guerre reste indigeste. Pour l’accepter il faut impérativement comprendre qu’elle était un enseignement. Mais un enseignement qui a été fabriqué et commandé de toutes pièces par les êtres humains. Je connais et fréquente des personnes juives, certaines fois je leur fais part de cet aspect d’interprétation et je suis toujours surprise de voir comment on peut contourner une réalité. Mon meilleur ami me répondit qu’il était conscient que ses richesses étaient basées sur la conséquence de la deuxième guerre mondiale mais que ce n’était que l’évolution de cette tragédie. Sur le principe il a totalement raison, dans un raisonnement quelque peu futile et je le respect. Mais en prenant un schéma plus mature c’est plus complexe. On ne pardonne pas cette guerre à ceux qui l’ont commise, mais devant les importantes richesses bâties en conséquence directe de cette guerre. Sous le couvert de cette évolution les gens acceptent de s’enrichir au détriment du devoir de mémoire ? C’est une gigantesque perversion. A Hitler on ne lui pardonne pas ses idées et ses décisions mais devant l’évolution des richesses on les accepte indirectement. Ce qui équivaut à comprendre que toujours indirectement et uniquement par intérêt on les lui pardonne, ce n’est pas très intègre et c’est un faux concept qui empêche les êtres de se respecter eux-mêmes. C’est une perversion qui engendre une prostitution intellectuelle des plus terribles.
Afin de bien comprendre ce personnage, il fallait que j’étudie l’homme qu’il était et non les conséquences de ses pensées. La construction passe toujours avant la destruction. Quand on bâti un gratte-ciel, il faut tout d’abord établir une projection et mettre en place un business plan. Ensuite si ce projet est bon, on fera une étude de marché avant d’entamer les perspectives. Puis il faudra trouver des investisseurs et commencer à bâtir ce projet. On fera appel à des banques, à des investisseurs, des riches privés qui investiront dans ce qu’ils estiment être à la hauteur de leurs intérêts. Une guerre se construit de la même manière qu’un gratte-ciel, c’est toujours une énorme perte financière qui débouche inévitablement sur une guerre.
Pour comprendre cette guerre il faut comprendre qu’Hitler avait basé le genre humain sur la même échelle que celle des animaux. C’est Darwin qui était son chef d’orchestre. Pour lui il n’était pas important d’éliminer des êtres pour sauver d’autres êtres. C’était le même principe que celui de la nature, un équilibre régulé par l’homme. Quand on se place sous cet aspect et ce genre de raisonnement il faut comprendre que celui qui applique la théorie de Darwin, possède une forme d’héroïsme dans sa manière de penser et d’agir en sacrifiant d’un côté des êtres et en sauvant de l’autre côté son peuple.
En citant l’exemple de la France, avant la campagne des présidentielles il y eut le drame des jeunes dans banlieues et Sarkozy était l’homme qui a démêlé la situation. Durant cette période il commit une erreur celle d’avoir utilisé la phrase : « Il faut tout passer au karcher ». Une phrase de ce genre. Malgré ce propos extrême cet homme est devenu le Président de la France. Tout simplement parce qu’il a répondu au travers de cette phrase à l’attente majoritaire du peuple français. Si demain son mandat devait tourner au drame la responsabilité de ses potentiels actes deviendrait la responsabilité de ses électeurs tout simplement parce que ce propos extrémiste lui avait tout de même permis d’accéder au pouvoir et la majorité de son peuple qui l’ont mit en place prendra l’entière responsabilité du propos qui détermina consciemment ou inconsciemment sa victoire.
C’est le même schéma que pour Hitler à la seule différence que la France n’est pas en guère et ne meurt pas de faim. Et à la différence aussi qu’Hitler a été maltraité par son père, rejeté des arts décoratifs et orphelin. En plus il fut soldat pendant la guerre de 1914-1918 dans les tranchées. Guerre où il fut blessé et où il perdit la vue. Tandis que Sarkozy est sorti tout droit de l’ENA. Quand on fait une analyse objective il faut toujours se mettre dans les baskets de l’autre. Or, je suis certaine que tous les historiens qui ont voulu comprendre Hitler n’étaient pas dans le même état d’esprit et n’évoluait pas non plus dans les mêmes conditions. De ce fait toutes les analyses qui ont vu le jour sont dépourvues de justesse parce que personne ne peut comprendre de tels agissements sans l’ombre d’une connaissance plus profonde. Pour qu’une analyse demeure la plus objective possible, il faudrait que son analyste se mette dans le même schéma de l’époque. Il est plus facile de faire une analyse erronée l’estomac plein, car il ne faut tout de même pas oublier que les conditions de l’époque étaient que l’Allemagne souffrait de la famine. C’est une situation qui n’est plus envisageable de nos jours, alors toutes études faites sur la deuxième guerre mondiale ne peut-être conforment car les historiens n’étudie pas ce phénomène l’estomac vide ! C’est toujours le problème entre la théorie et la pratique, on imagine mais on ne peut pas comprendre…
On sait bien que les personnes vivantes dans les banlieues dérangent un système mit en place et le dérègle inévitablement aussi. Mais est-ce vraiment nécessaire de mépriser cette communauté parce qu’elle coûte de l’argent à l’état et aux contribuables ? Si ses personnes sont entrées en France et qu’elles arrivent à trouver un logement et un travail, cela veut dire que quelques opportunistes ont déjà trouvé un avantage à leur venue. Celui qui loue l’appartement rentabilise son bien, et celui qui l’emploi au noir évidemment, fait des économies certaines. C’est le même système que d’avoir transféré la majeure partie de la fabrication en Asie et maintenant en Inde. Il faut arrêter d’insulter les races ceux qui faut impérativement insulter ce sont ses personnes qui sont prêtes à tout pour toujours plus gain. Même l’Etat français soustraite en Inde le travail de certains fonctionnaires. Toujours gagner plus au détriment des autres par peur de manquer et par peur d’être moins puissant que ses jumeaux des pays voisins.
Il y a une chose que j’ai bien comprise chez Hitler, c’est que son plus gros traumatisme eut été la guerre de 14-18. Je me suis imaginée ce qu’était cette première guerre mondiale, ce doit être un peu la même sensation que le jeu de la roulette russe avec un pistolet. Une chance sur deux de se faire descendre. Il faut être cinglé pour vivre une chose pareille. C’était tout à fait normal qu’il est pété un neurone. Dans notre société contemporaine pour moins que cela les gens commettent d’horribles atrocités. Dernièrement à Genève, ils ont retrouvés un jeune garçon de 25 ans découpés en plusieurs morceaux dont le tronc ne comportait plus d’intestins. Ce jeune homme avait une dette d’argent de 400 euros. Heureusement que les personnes qui ont commis cet acte ne possédaient pas un pouvoir plus important car combien d’autres personnes auraient-ils pu décapiter ? Je vous rappelle que nous sommes au 21ème siècle et que nous sommes sensés être d’intelligence supérieure ?
Alors que ressentent les parents de ce jeune homme ? Est-ce que cela est juste ? Pensez-vous qu’ils ont quelque chose à faire de la souffrance des autres ? Quand une souffrance est trop violente le reste du monde n’existe plus. La survie à cette souffrance est de l’anesthésiée dans une autre souffrance ou de la laisser partir en dépression. Je compatis pour ses parents il n’y a rien de pire que de perdre un enfant surtout le sien. Le voisin ne peut pas comprendre cette souffrance et c’est normal puisque ce n’est pas la sienne. Et quand ses personnes se permettent le jugement d’une situation, ce n’est que de la bêtise par ignorance du degré de souffrance des autres.
La première guerre mondiale m’a faite comprendre aussi ce que pouvait ressentir un animal traqué par des chasseurs. C’est le même principe que les hommes qui sortaient des tranchées et se faisaient tirer comme des lapins. C’est horrible de faire des choses pareilles, il faut être vraiment déséquilibré pour commanditer de telles horreurs. Il a été reconnu que la première guerre mondiale fut la plus grande des barbaries de toute l’histoire de l’humanité. En fait les êtres humains n’ont jamais respecté les êtres vivants. Quand ils possèdent un intérêt un être n’est plus vivant dans les yeux de l’autre il devient un robot virtuel qu’il emploie pour ses propres moyens et à ses propres fins. De la même manière qu’un lapin ou un autre animal. Les personnes pourront trouver très joli un lapin quand il vit dans son élément, mais oublieront qu’il était si joli et vivant au moment où il sera servi dans leurs assiettes. Mais du fait qu’il est accompagné d’une bonne sauce ils arrivent à oublier qu’il était si joli le petit lapin. Comment voulez-vous que des êtres se respectent quand devant une assiette bien remplie d’un bon steak ou d’un bon filet, ils salivent ? Si l’on n’arrive pas à respecter l’être vivant qui vit dans l’animal comment pouvons-nous respecter l’être vivant qui vit en nous ?
Quand j’ai compris ce mécanisme j’ai immédiatement arrêté de manger de la viande, le poisson n’a jamais été un problème parce que je n’aime pas le manger. C’est un traumatisme d’enfant, mon frère m’emmenait à la pêche et quand il tuait une truite je ne supportais pas le bruit, au moment où il lui brisait la nuque. Chaque fois que l’on me servait une truite dans l’assiette il me fallait plus d’une heure afin que j’arrive l’avaler. C’était répugnant !
Mais ma défaillance est que je n’ai jamais fais le même rapprochement avec les autres animaux. Etant d’origine lyonnaise mon éducation culinaire était complète. Mais instinctivement il y a des choses que je n’ai jamais pu avaler, tels que les abats. Avec le temps j’ai supprimé les escargots et les grenouilles. La dernière assiette de cuisses de grenouilles, je m’en rappelle encore je ne l’ai jamais terminée. Au moment où je portais la cuisse à la bouche, une image forte s’est dessinée dans ma tête celle d’une grenouille nageant dans l’eau. J’ai lâché la cuisse et j’ai dis que ce serait la dernière et ce fut le cas.
Alors l’aspect végétarien n’est pas très important, ce qu’il faut retenir c’est pourquoi on ne mange pas d’êtres vivants ? Souvent des gens m’expliquent qu’à l’heure actuelle, on pense que nous avons évolué et que le passé ne se représentera pas car nous sommes devenus intelligents. Cela me fait toujours rigoler parce que c’est une illusion. On pense être devenu civilisé et intelligent parce que nos assiettes sont pleines, mais si demain elles devenaient vides penseriez-vous que les bonnes manières et l’intelligence pourraient remplir notre estomac ? C’est une bonne question ? Pour le comprendre il suffit juste de regarder les personnes en mal nutrition dans les pays encore sous-développé, est-ce qu’ils arrivent à sensibiliser une société plus contemporaine ? Non ses personnes sont justes là pour donner aux plus intelligents un marketing d’enfer qui se nomme la charité. C’est un sujet que j’aime particulièrement…
« Charité bien ordonnée commence par soi-même ». C’est ma grand-mère qui disait toujours cette phrase. Je l’ai certainement prise trop à cœur. Quand une noble cause apparaît quelques bonnes âmes vraiment sensibilisées prennent le problème en mains. Elles organisent des galas de charité. Le prix des places peut varier suivant le niveau social des généreux donateurs. Les femmes courent s’acheter des tenues hors de prix afin de montrer qu’elles sont nobles jusqu’aux bouts des ongles. C’est un étalage de richesse et d’exhibitionnisme à vouloir démontrer son pouvoir monétaire aux yeux des autres sur le dos de la véritable misère. Si c’est un gala qui comprend mille personnes à mille euros la place cela nous donne un montant de 1'000'000 d’euros auquel il faudra soustraire les frais de la soirée. Les personnes invitées devront débourser environ pour un couple, 1500 euros de vêtements sans compter les bijoux. Cela nous amène une dépense de 1'500'000 euro (chiffre donnant l’estimation d’une échelle mais en sous évaluation de la réalité). Montant plus important que la soirée de gala. On rajoutera aussi le prix de l’entretien esthétique des femmes pour la soirée. Ce qui nous démontre dans cet exemple que l’investissement du paraître est plus important que les fonds récoltés pour la soi-disant misère !
Alors, ce n’est pas à moi qu’il faut parler de charité, c’est une stupide imposture à mes yeux. On n’a pas le droit d’exister et d’être reconnu sur la misère des autres. Ne penseriez-vous pas qu’il serait mieux d’aller dans ce genre de soirée en jeans et de mettre dans une enveloppe le montant des dépenses superficielles aux profits des enfants ? Heureusement qu’ils ne savent pas comment vous pratiquez pour leur fournir des dons, car sinon ils mangeraient vos vêtements. C’est une image un peu violente et je m’en excuse mais il faut tout de même remettre les choses à leur place.
Dernièrement mes filles ont été invitées à un gala de charité en faveur des enfants de Roumanie. Je restai choquée quand une de leur copine me dit : « C’est génial nous allons aider les pauvres ! ». Cette phrase dans la bouche d’une enfant me laissa perplexe parce qu’il n’y avait pas vraiment de conscience de cette misère. Il y avait juste le côté de l’héroïsme de l’action.
Cet exemple nous démontre que l’on peut conditionner des enfants dans une forme d’héroïsme. Mais il n’existe pas d’héroïsme dans la charité c’est tout simplement une bonne action qui ne mérite aucune reconnaissance des autres puisqu’elle est faite en faveur d’autrui et au détriment de soi-même. La seule reconnaissance que l’on peut ressentir c’est d’avoir faite cette bonne action et de comprendre que l’on est en réalité dispensable envers des moins privilégiés que nous sommes.
C’est le même schéma que les personnes qui se battent contre les femmes qui portent de la fourrure. Elles se battent contre l’extermination des animaux et débattent ce sujet lors d’un bon déjeuné devant une belle assiette de viande. C’est le même principe que nous vivons dans notre société, on sauve toujours notre peau en sacrifiant celle des autres. C’est une illusion conçue sur l’histoire de l’humanité et de son éducation.
A l’heure actuelle je mange encore du poulet parce que psychologiquement j’ai peur de manquer de protéines, c’est l’éducation qui me le fait penser et qui m’a rendue peureuse de cet état de fait. Alors, chaque fois que je cuisine du poulet je le remercie d’être mort et de nourrir ma famille. Cela peut vous sembler étrange mais je vous rassure au départ que je pratiquais ce rituel je me trouvais ridicule tout simplement parce que je me sentais supérieure au poulet. C’est la compréhension qui permet d’avancer jamais la dualité. La dualité entretien le déséquilibre dans le « est-ce que c’est bien ? » ou « est-ce que c’est pas bien ? ». Et ceux qui ne vivent pas dans ce schéma sont ceux qui ne pensent plus et qui vivent comme des troupeaux d’animaux qui suivent bêtement les autres sans jamais se poser de question, donc sans jamais rien comprendre à ce qu’ils font parce qu’ils sont devenus peureux et par peur de décider ils se laissent vivres au travers des décisions des autres. Mais à défaut des hommes, les animaux possèdent une excuse ils ne sont pas allés à l’école et vivent sur leur instinct de vie et de survie.
D’ailleurs cela nous démontre que notre évolution n’a été basée que sur un seul aspect qui est l’homme de Cro-Magnon. C’était des primitifs ne possédant aucune intelligence, comme le lion ils ont chassé par instinct de survie. A l’époque il n’existait pas de nutritionniste ! C’est à partir de cet état primitif que l’histoire de l’humanité et son évolution se sont basées sans jamais se remettre en question. En fait l’évolution de la chasse, fait de nos jours que nous achetons la viande et le gibier au supermarché. Et que le soir nous la cuisinons dans une poêle plutôt qu’au feu de bois, et que le fait que nous mangions assis sur de belles chaises en tissus avec de beaux couverts et dans de belles assiettes nous donne le sentiment d’être des êtres intelligents, et encore bien plus intelligent si notre viande a été achetée chez un boucher réputé. C’est cela même l’illusion du pouvoir et de l’argent.
La nature aussi, évolue en interaction avec notre société, certains animaux ont eu accès à la mondialisation, ils possèdent leurs supermarchés « nos poubelles ». De même que l’éleveur qui nourrissent mal leurs bêtes afin d’obtenir d’importants profits. Comme ceux qui exploite les bienfaits de la nature en vendant des produits Bio à des prix bien plus élevés. Est-ce que sérieusement le Bio n’est pas aujourd’hui un véritable marketing ? Les hommes ont toujours eu peur des maladies mais encore bien plus suite à la vache folle, c’était une petite prise de conscience. Mais cela ne les empêche pas chaque jour de continuer à la violer et à en abuser. Si vous soulez comprendre ce qu’est véritablement la peur, comprenez ceci :
« Les êtres humains ont peur de manquer d’argent par peur de ne pas pouvoir subvenir aux factures et de remplir leur assiette. Ils ne réfléchissent pas plus loin que cela, mais quels sont les véritables besoins élémentaires des êtres vivants, et de tous les êtres vivants y comprit les animaux et de la nature ? Ce sont l’oxygène et l’eau. Le constat est que la pollution a fortement endommagée la nature et que l’eau peut dans un avenir très proche manquer. Alors quel génie va pouvoir remplacer ses deux éléments primordiaux à notre fonction de vie ? Car même les plus riches ne pourront jamais s’offrir d’oxygène hormis dans des bouteilles. Ca ne doit pas être marrant de vivre avec un masque supplémentaire (ou encore cacher la réalité derrière des œillères toujours par intérêt), c’est le même phénomène qu’un malade dans un hôpital à la seule différence c’est qu’il pourra marcher en liberté. C’est encore le même schéma que celui qui fait de la plongée et bien ils n’auront plus besoin de retirer leurs bouteilles, car ce sera les mêmes masques et bouteilles dans la mer et sur la terre ! ».
Cela peut paraître de la science fiction, mais celle-ci nous a déjà démontrée que la fiction devenait dans la science du futur une réalité. Ils n’existent aucunes idées qui émanent du néant, car le néant n’existe plus tout est en vie. La preuve en est, c’est nous-mêmes. L’univers existe il est tout comme nous en perpétuelle évolution, ce n’est pas l’univers qui fait partie de la Terre, mais bel et bien la Terre qui fait partie de ce si vaste univers.
Hitler m’a aussi fait comprendre que c’est la peur qu’il a ressentie durant la première guerre mondiale qui l’a fait agir de la sorte. Sa peur était tellement grande qu’il en a déclenché une pathologie à la hauteur et à la grandeur de cette peur. Les conséquences que l’ont connaît nous démontre ce qu’un homme qui a terriblement peur est capable de faire pour masquer sa faiblesse. L’armée qu’il a construite à été fondée sur ses propres peurs et voilà pourquoi tous le monde s’est laissé transporter par des énergies négatives basées sur un traumatisme. Le pouvoir réel d’Hitler a été d’avoir transmis sa peur. Et aujourd’hui la raison pour laquelle nous n’acceptons pas ce qui s’est passé c’est tout simplement parce que la peur reste ressentie dans les énergies de cette triste guerre. La peur que cela se reproduise. Jésus pourrait certainement nous dire aujourd’hui : « Que celui qui n’a jamais eu peur lui jette la première pierre ! ».
En tout cas Monsieur Bush nous a démontré son état de panique après les attentats du 11 septembre 2001. Il a fait embraser cette panique du terrorisme sur le monde entier sans jamais désamorcer la raison de cette peur : « la guerre en Irak ». Alors maintenant, savoir si ses terroristes étaient de mèche avec son gouvernement ? On s’en fiche un peu à vrai dire, cela n’effacera pas ce qui s’est passé et ne ramènera personnes. Les actions restent individuelles et les décisions aussi et si un gouvernement demeure de mèche avec des terroristes cela leur appartient entièrement. La responsabilité se trouve dans leur libre-arbitre mais le repentit appartient à chacun. Alors quand on pioche dans les énergies négatives il faut savoir les refaire basculer dans les énergies positives. Le moyen le plus efficace c’est de raconter toutes les vérités. C’est très difficile et cela demande un grand travail sur soi. Mais c’est libérateur de demander pardon. En tout premier pour celui qui le fait et en second pour ceux qui le reçoivent.
La responsabilité d’un homme d’état c’est sa liberté à savoir commettre des erreurs et sa conscience envers son peuple c’est de les réparer au moment où elles sont comprises. Un chef d’état quelque peu raisonnable doit respecter les personnes qui lui ont fait confiance en le plaçant à la barre du pouvoir. Que ses erreurs ne soient pas dans un avenir proche la responsabilité de tout un peuple, un karma collectif, une responsabilité commune. Ce à quoi on pourrait conseiller :
« Un temps pour naître, et un temps pour mourir
Un temps pour planter, et un temps pour arracher le plant
Un temps pour tuer, un temps pour guérir
Un temps pour détruire, et un temps pour bâtir
Un temps pour pleurer, un temps pour rire
Un temps pour gémir, et un temps pour danser
Un temps pour jeter des pierres, et un temps pour en ramasser
Un temps pour s’éteindre, et un temps pour se séparer
Un temps pour chercher, et un temps pour perdre
Un temps pour garder, et un temps pour jeter
Un temps pour déchirer, et un temps pour coudre
Un temps pour se taire, et un temps pour parler
Un temps pour aimer, et un temps pour haïr
Un temps pour la GUERRE, et un temps pour la PAIX…
C’est le seul texte que l’on peut souhaiter comprendre et essayer d’appliquer. Cela effacera bien des peines à venir. Regardez vos enfants et posez-vous cette question : Est-ce que ce sont mes enfants que j’aime plus que moi-même, ou est-ce moi-même que j’aime plus que mes enfants ?
Il n’est pas nécessaire de se poser la question si on est une bonne personne ou une mauvaise personne. La réponse c’est que nous sommes les deux. Si l’on va à l’église, à la synagogue ou à la mosquée est-ce que cela fait de nous de bien plus belles personnes ? La réponse est naturellement logique, bien entendu que personne n’est meilleure qu’une autre étant donnée que les deux mots d’ordre qui les unissent ne possède qu’un seul et unique état d’esprit, il est universel et se nomme : La peur sous toutes ses formes.
En tout cas ce ne sont pas les politiques qui pourront dire le contraire, qu’est-ce que l’on ne ferait pas pour du nucléaire, du pétrole, de l’armement ? Le pouvoir peut paraître très lourd quand on doit le gérer au travers de la peur des autres ? Il y a une chose que j’ai assimilée malgré que je ne possède pas de phallus. Veuillez excuser mon vocabulaire. L’homme a voulu le pouvoir pour exorciser ses peurs, petites ou grandes. Ce qu’il n’avait pas assimilé c’est que le pouvoir allait entraîner sa propre perte personnelle. Comme il se sentait fort et puissant tel le babouin au milieu de ses femelles qui choisissent toujours le mâle le plus fort par sécurité et par confort. La femme s’est laissée subjuguée par le pouvoir de l’homme et la sécurité qu’il pouvait lui accorder. Au travers de ce pouvoir il l’a pervertie et l’a rendue opportuniste et intéressée. Une femme est fragile et a besoin de se sentir protégée. Protégée ne veut pas dire dominée. La femme telle la babouine attend que son mari le babouin rentre à la maison pour lui donner un peu d’argent afin de se rendre au supermarché pour acheter le gibier. C’est une image grotesque mais c’est une réalité. Les histoires d’amour ne sont plus d’actualité parce que la peur de l’insécurité est dominante dans nos sociétés actuelles. Plus l’argent fructifie plus la peur de le perdre grandit.
La science a fait progresser l’histoire de l’humanité à partir de l’homme préhistorique, la résultante est quelques milliers d’années plus tard, l’homme de Cro-Magnon à une forme d’intelligence et un costume trois pièces. Mais ce qui unie ses deux profils encore de nos jours, c’est qu’ils n’ont pour la majorité jamais réglé le problème avec leur sexe. Ils ont développé un pouvoir par rapport à lui qu’ils ont caché sous le couvert de leur virilité. Bien souvent, passant par leur force et leurs muscles et quand ils se confrontent à la jouissance de leur sexe, il pense qu’ils possèdent la toute Puissance !
Ce que nous les femmes, nous nous efforçons de penser c’est que la différence de fonctionnement qui subsiste entre la polarité masculine et la polarité féminine. Est à savoir que l’homme peut avoir des relations sexuelles justes pour le plaisir de son corps. Une sorte d’équilibre d’ordre psychique et physique. Mais en tant que femme il faudra admettre que nous savons et pouvons faire exactement la même chose qu’eux. On arrive à éprouver juste une forme de plaisir psychique et physique, le pur plaisir du sexe. On peut les critiquer mais nous ne sommes pas mieux. Et puis, il y a cette partie de femmes qui jouent les saintes ni touchent. Généralement des femmes de bonne éducation à qui ont donnerait le bon Dieu sans confession. Une partie d’entre elles se lâchent et vivent une sexualité débordante, voir épanouie alors que d’autres vivent une sexualité toute paisible sans débordement prônant une certaine gêne et pudeur. En fait, une certaine virginité.
A leurs tours elles se sont aussi perdues entre le besoin de sécurité, le plaisir, l’envie d’être mère, l’envie d’être une femme, l’envie de rester une enfant, l’envie de pouvoir être une salope ! Car les femmes aussi ont le droit de posséder une forme de pouvoir sur les hommes en prenant le costume de la salope. Car nous avons compris depuis belles lurettes que l’arme fatale que nous possédions sur eux était au travers de la plus grande de leur faiblesse : leur sexe. Sexe que nous avons naturellement exploité dans un premier temps par fatigue d’être dominée et ensuite par peur d’insécurité dans un sentiment de pure sécurité. Il ne sert à rien de se dire que cette attitude appartient à certaines femmes uniquement, il faut rester honnête envers soi-même. La sécurité reste en tout premier la priorité des hommes et des femmes et elle peut être consciente tout comme elle peut être inconsciente l’amour est tellement compliqué à comprendre. Lui aussi possède sa partie illusoire de sa magnifique énergie. Et il ne sert à rien de prendre peur du mot salope, car une femme possède le droit de se comporter en tant que telle avec l’homme qu’elle a choisi et avec qui elle a décidé d’unir sa vie. Ce comportement n’est pas contestable car dans ce schéma il est basé sur la fidélité.
En fait l’histoire de l’humanité n’est qu’une histoire d’amour qui a mal tournée et qui s’est dissimulée sous des formes différentes, mais qui en réalité se nomme la guerre…des sexes. Pour camoufler cette faiblesse il a fallut que certains hommes créent de véritables guerres, qu’ils se soient réfugié dans leur intellectuel, leur grand esprit afin de dissimuler cette faiblesse. Comment de grands esprits auraient pu accepter de faillir devant son organe génital ? Et savoir dépendre de lui plutôt que du compte en banque et du pouvoir que lui offrait la frustration de ce dernier ? Alors, on me dira mais où se trouve l’amour dans tout cela ? Je répondrais ce n’est pas le nom de l’homme ni ce qu’il représente que l’on doit aimer, mais l’homme qui vit au travers de son sexe. La véritable sécurité c’est que dans nos sociétés actuelles qui possèdent un bien grand nombre de perversions et de tentations, il est plus simple de comprendre que l’amour que l’on porte au sexe de l’homme est moins nocif que l’amour de la reconnaissance et de la sécurité qu’il nous apporte au travers de ce que cet homme représente. Il n’est pas convenable de rester fidèle au sexe de l’homme par sécurité, il est bien plus convenable d’être fidèle par amour de la puissance du plaisir qu’il nous apporte.
Ne pensez pas que je suis meilleure que les autres, mais durant toute ma vie j’ai été une véritable rebelle envers les hommes. J’ai refusé leur pouvoir, leur argent et leur domination sexuelle sur ma personne que je protégeais, en réalité c’était la petite fille blessée qui était en moi que je protégeais par-dessus tout. Cela a été le combat de toute ma vie mais ayant pour résultante d’avoir été une mal baisée. Et si certaines âmes voient en moi le diable au travers de mon vocabulaire, je leur propose de regarder cette anagramme : Le diable – La débile !
Alors, pour en revenir au monde politique, on ne serait pas bien en ce moment si un crash économique arrivait, serait-il pire que celui de 1929 ? Evidemment que oui, plus le plafond est haut plus la chute sera puissante. C’est le même principe que la deuxième guerre mondiale. Peut-être que si cela arrivait il y existerait un type plus peureux qu’Hitler qui activera les bombes atomiques ? Tout est possible quand des peuples ont peur et comme tout fonctionne en interaction de « cause à effet », la catastrophe future aura lieu probablement à la prochaine crise économique elle sera proportionnellement à la hauteur de ce qu’elle représentera à ce moment. Cela nous laisse entrevoir au vu de l’évolution et des besoins de chacun l’envergure de cette catastrophe à venir.
Le matérialisme à outrance sera la perte du système. Nous avons encore le temps d’inverser la machine et de reculer car nous nous sommes basés juste sur un seul model évolutif. Jamais personne n’a envisagé qu’il pouvait exister une autre voie d’évolution. La fatalité n’existe pas, les erreurs sont uniquement humaines tout comme dans les crashs d’avions. Soit c’est une erreur de pilotage soit c’est un problème technique, mais derrière ses deux aspects d’erreurs se trouvent combien de personnes ? Il y en a déjà deux dans le cockpit, un pilote et un copilote, et des dizaines d’autres dans la maintenance technique de l’avion.
Alors il faut comprendre que la domination est venue du fait que les hommes ne possédaient pas de matrice, le pouvoir naturel de la reproduction, et qu’ils ont tout simplement eu peur d’être transformé en femme d’intérieure. C’est leur égo qui en aurait prit un coup. La virilité ne pouvait pas se trouver dans un balai ou dans des couches culottes, c’est pour cela qu’il a voulu soumettre la femme. Quand un homme est confronté à la véritable peur c’est son côté féminin qui vient le supporter et le rassurer, mais c’est un état inconscient. C’est pour cette raison qu’une grande partie des hommes condamnent encore les homosexuelles parce qu’ils n’acceptent pas la féminin qui vit en eux. Mais surtout par incompréhension que des hommes puissent abandonner leur sexe à d’autres hommes. Pourtant dans la nature certains animaux vivent l’homosexualité mais pour eux ce n’est pas grave car ils ne possèdent pas d’intelligence, ils ne comprennent pas ce qu’ils font. Par contre la liberté est applicable pour chacun, que l’on soit hétéro ou homo, la règle d’or est toujours basée sur le respect des autres. Ne jamais faire souffrir ceux qui nous aiment.
Bien entendu cet événement n’est pas une prédiction, c’est juste un exemple présent qui peut connaître un dérapage. Souvent on comprend mieux un fait à venir à un fait passé. La conscience agit mieux au présent car elle est émotionnelle.
En suite dans cette deuxième guerre mondiale après l’élection, sont venus se joindre les autres pays qui ont suivi le dictateur pendant sa montée au pouvoir et sa prise du pouvoir. Reconstruire un pays qui souffrait de famine et les autres autours qui ne se portait guère mieux, la reconstruction d’un état économique devient alors une affaire mondiale. Ce qui serait intéressant à savoir, qui est la personne ou les personnes qui ont financé la campagne d’Hitler ? En faisant des recherches sur le net c’est le nom de Prescott Bush qui apparaît. Mais d’autres sources racontent que ce sont les riches familles de cette époque qui aurait vu en lui un redressement économique. Ce qui pourrait être tout à fait plausible en ce qui concerne Prescott Bush ainsi que les riches familles l’accompagnant. Car au vue du crash boursier de 1929, que Prescott Bush possédait une ou deux banques et que dans l’appât du gain il n’existe plus trop de moralité. Toujours d’après le net ce serait ses banques qui auraient financées la fabrication des armes. Alors, on pourrait se poser la question à savoir si pour sauver une partie des hommes on peut excuser l’extermination d’une autre partie des hommes. C’est le même principe que ce que les hommes pratiquent pour équilibrer certaines espèces d’animaux. Mais cela équivaudrait aussi à dire que pour les gouvernements les êtres humains ne valent guerre plus que des animaux ce qui est juste à quelque part puisque nous faisons partie de cette même évolution. Cette manière de fonctionner ne vole pas très haut et pour de grands diplômés je pense que c’est un état bien primaire…
Et même dans ce cas décrit, il ne servirait à rien de leur en vouloir, pour la simple et bonne raison que leur style d’éducation et d’enseignement à découlé du savoir de leurs anciens. Dans n’importe quelle famille quand un enfant naît, c’est un être pur. Si à l’âge adulte il ne l’est plus, c’est la faute du conditionnement qu’il a reçu. J’ai fait l’expérience de demander à des personnes s’ils pardonnaient à Hitler ? Bien entendu que non, c’est étonnant ? Dans les différentes communautés religieuses le pardon reste un élément majeur de leur spiritualité. Mais entre la théorie de ce pardon et sa pratique malheureusement ce sont des milliers d’océans qui subsistent entre ses deux paradoxes. Personnes ne parle jamais des autres personnes qui entouraient Hitler, pas de ses états majors mais des personnes civiles qui ont constitués sa montée au pouvoir ? Pour quel raison on ne parle d’elles puisqu’elles ont prit les chaises de ce pouvoir autour de sa table ? On donne une puissance à cet homme incroyable, encore soixante plus tard, la faute n’appartient pas qu’à lui seul ? Qui n’assument pas avoir profité de ses crimes ? En réalité, nous tous car la mondialisation est due à la marche de l’évolution suite à la deuxième guerre mondiale. S’il n’y avait pas eu de deuxième guerre mondiale nous n’aurions jamais prit ce chemin d’évolution. C’est la peur des horreurs commises qui ont entraîné une sur consommation et un appât du gain hors norme afin de s’assurer que si cela devait se reproduire, le pouvoir et l’argent permettrait aux êtres peureux de quitter le navire. Car on peut constater et reconnaître au travers de cette deuxième guerre mondiale, que ce sont les riches qui prirent la fuite et les plus pauvres qui furent exterminés.
« Le fascisme est la conséquence due à la bêtise des êtres qui ne comprennent pas leurs richesses et qui ne savent pas les utilisées correctement ».
Ma grand-mère m’a toujours enseigné : « Que cela ne sert à rien de vouloir être le plus riche du cimetière ! ». C’est par peur de manquer que le radin prit forme et vit le jour. Sa peur est tellement importante qu’il se fou royalement de son voisin qui meurt de faim. C’est ce qui s’est passé dans la deuxième guerre mondiale les juifs fortunés sont tous partis s’expatrier en Amérique, pendant qu’une partie de leur communauté la plus pauvre partait dans les camps de concentration afin d’être exterminé. La peur ne comporte pas de moralité, c’est ce qu’Hitler est venu nous enseigner. Que par peur on peut trahir ceux qu’on aime, nos parents, nos frères, nos sœurs, nos amis…
Il y a des années en arrière, il m’est arrivé une histoire, c’était quand mon fils était nourrisson. J’étais dans un hôtel et il y eu du bruit sur le toit de la chambre. Une émotion s’envahit en moi et je partis vers la porte afin de sortir de la chambre. Dans cette panique j’ai oublié de prendre mon enfant qui dormait dans sa poussette. Ce fût une réaction primitive motivée par la peur, il me fallut des années pour me l’a pardonnée. La peur est irréfléchie et stupide mais elle est naturelle de ce fait pardonnable. C’est le regard des autres qui l’a rend très lourde et honteuse.
Maintenant si nous regardons l’anagramme du Dictateur : « Acteur dit ». Et qui se cache derrière l’acteur ? Le producteur et le réalisateur. Sous les feux des projecteurs les spectateurs applaudissent ou huent l’interprétation et la qualité des prestations du premier rôle, du second rôle et des figurants qui mettent en scène l’histoire et la qualité du film.
Cette anagramme nous fait comprendre qu’une dictature possède ses investisseurs. C’est étonnant que l’histoire de Saddam Hussein ressemble quelque peu à l’histoire d’Hitler. En tout cas elles possèdent un dénominateur commun le pouvoir et l’argent !
Cette anagramme nous fait aussi comprendre que ceux qui prennent la responsabilité des réactions des spectateurs sont principalement les acteurs. Les critiques se portent toujours sur eux. L’avantage dans un film c’est que le producteur et le réalisateur mettent leur nom en haut de l’affiche. Lors d’une dictature on ne retrouve que le nom du premier rôle. Quand aux principaux concernés ils préfèrent agir dans l’ombre, l’affiche ne comporte pas de noms !
Nous sommes encore face aux côtés peureux des êtres humains. On veut toujours s’en mettre plein les poches en utilisant n’importe quel cas de figure, l’important c’est que cela ne se sache pas ! C’est le propre de l’homme. C’est pour cette raison certainement qu’il a inventé les costumes trois pièces et les bonnes manières. La parfaite panoplie de l’imposteur.
Pour comprendre les drames de l’humanité il faut en tout premier comprendre que le dénominateur commun de tous les êtres humains se nomme toujours et encore LA PEUR. Les humains ont peur de la faim, du manque d’argent, la perte d’un bien, du regard des autres. De perdre un être cher, d’être cocu surtout si les voisins l’apprennent. Même quand on se retrouve autour d’une table et qu’une grosse guêpe vient taquiner l’assemblée il se met en place un état de panique. Alors, pour vaincre toutes ses peurs personnelles il fallait bien que les humains inventent la bombe atomique.
Plutôt que d’admettre d’avoir peur, voulant imiter le lion, tout en voulant cacher ses faiblesses sous le couvert d’une fausse virilité masquée sous des mensonges. C’est ridicule n’est-ce pas ? Mais le plus absurde ce sont les conséquences qu’elles ont engendrées.
Le problème de l’humanité ce sont les différents degrés d’évolution. Il faut que les peuples acceptent ses différences et qu’ils arrivent à ne plus en être blessé. L’Europe est arrivée à ce stade à force d’histoires et de guerres. En regardant la France qui reste le pays le plus admiré au monde, les peuples ont oublié que ce pays détient le plus important palmarès du plus grand nombre de guerres de l’histoire de l’humanité. Alors on a beau admirer son architecture et ses trésors culturels, elle en a tué des gens pour en arriver à ce stade. Et je ne suis pas certaine de nos jours, que ce pays est bien compris les erreurs du passé.
Toutes les guerres passées étaient dues à la peur de la perte d’un territoire, ou à l’ambition de l’acquisition des terres de l’autre. On est toujours dans le cas de figure de la brute et du truand. Bien que l’on puisse penser qu’à nouveau les religions portent le chapeau de la dualité, il faudra bien admettre qu’elles aussi devaient évoluée au travers de leur doctrine. Elles possèdent tout de même le droit à l’erreur et elles doivent aussi faire face à leur propre responsabilité celui du pouvoir qu’elles possèdent envers leur fidèle. Peut-être qu’effectivement chacune d’entres elle représente l’armée de Dieu, qu’elles reçoivent des directives sur une ligne spéciale et que Dieu leur ait mandaté la gestion du monde ? Cela nous amènerait à penser que nous sommes vraiment tous des incultes !
Ou alors, est-ce que Dieu leur aurai donné le privilège de croire qu’ils sont supérieurs aux autres ce qui expliquerai l’élitisme qui les habitent ? Où alors, est-ce qu’il y aurait eu un problème familial dans la famille Divine ? Ce qui aurait déclenché des divisions de camps ? Ou alors, est-ce que Jésus serai véritablement mort sur la croix ? Ou alors, seraient-elles victime d’elles-mêmes, et ne pourraient pas revenir en arrière par peur d’un total désaveu et la trahison envers leurs fidèles ? Heureusement Dieu fait toujours bien les choses, il reste à nous tous une nouvelle voie à explorer celle de la reconstruction. On ne parlera pas tout de suite de paix car elle serait abstraite, on évoquera la solution universelle qui se nomme « le pardon » c’est un peu plus d’actualité dans ce chapitre.
Dans tous les cas nous sommes confrontés au karma collectif. Nous sommes tous reliés dans l’interaction car c’est à cause de cette interaction que l’action prend place. L’interaction n’existe qu’à partir du chiffre deux et se multiplie à l’infini. Quand on s’en prend à son dirigeant c’est à nous-mêmes que l’on s’en prend. Et même si vous ne faite pas partie de ce parti le fait de ce taire devient un consentement.
Bien des gens penseront que la deuxième guerre mondiale est lointaine. Il y a encore deux cas de figure à ses blessures, ceux qui sont directement ou indirectement concernés et ceux qui ne le sont pas. Il y a des personnes aujourd’hui qui ne porte pas d’intérêt à cette guerre et j’en fais partie. Elle n’a pas eu d’impact dans ma vie. Dans celle de mes grands-parents elle coûta la vie du frère de ma grand-mère, mais comme je ne le connaissais pas cela ne me touche pas. Entretenir une culpabilité sur le malheur des autres me placerai dans le costume d’une misérable victime que je ne suis pas. Bien entendu que c’est tragique et horrible mais je ne peux pas ressentir la véritable émotion des victimes d’Holocauste. Alors, je respect infiniment les victimes de cette tragédie car en définitif les véritables héros c’était eux et pas ceux qui se lamentent encore aujourd’hui.
Se lamenter entraîne la culpabilité et la culpabilité est le cancer des hommes qui les rongent par l’intérieur. J’en sais quelque chose j’ai passé ma vie entière à culpabiliser. Je connais le prix et le poids de la sottise des gens qui m’ont mise dans le fauteuil de la culpabilité. J’ai porté le poids de leur médiocrité et je me suis enfermée et soumise dans le silence en acceptant l’attitude de mes bourreaux. Savez-vous pourquoi ? Parce que je les aimais tout simplement…
En réalité le peuple juif pleure parce qu’il ne sait jamais remis en question. Je vais être violente et je m’en excuse d’avance. Le problème de cette religion est le refus catégorique et systématique de la remise en question, au lieu de se répéter qu’ils sont persécutés depuis des milliers d’années ils feraient mieux de se demander pourquoi ils sont persécutés depuis des milliers d’années ? Ce serait plus juste…
Ce qui a entraîné les massacres à répétition du peuple juif est toujours et encore à l’heure actuelle une prétention hors norme à se croire les plus proches de la vérité de Dieu. Ils pensent qu’ils sont victimes des religions, mais en fait ils sont ni plus ni moins comme toutes les autres, des personnes de foi. Quand on aime Dieu, la seule chose que l’on doit retenir c’est le mot amour, maintenant si on se bat autour de se mot cela veut dire qu’il n’existe pas un véritable amour. Que l’on souhaite s’approprier une place privilégiée auprès de Dieu. C’est uniquement de l’élitisme et de la compétition orgueilleuse, ce n’est pas très noble ? Et cette attitude s’adresse à toutes les religions confondues…
On peut endosser le costume de victime, et on n’a le droit de ne pas pardonner aux autres c’est une liberté. Mais il y a une règle d’or, si on ne peut pas donner aux autres ce que l’on attend d’eux on est plus en droit d’attendre quelque chose de quiconque on possède un sérieux problème avec soi-même. C’est le problème des personnes qui se cantonnent dans le rôle de victime, elles finissent par devenir imbus d’elles-mêmes. C’est la souffrance le déclencheur de cet état. Souffrance surtout morale étant basée sur la culpabilité. Ce rôle de victimisation pousse un peuple dans l’inacceptation des faits et automatiquement dépose sur leurs vies une culpabilité terrible. On demande de ne pas oublié ce qui s’est passé, mais c’est une demie erreur. Bien entendu que l’on n’oubliera pas ce qui s’est passé, mais c’est passé. Il ne faut pas oublié que la mort est terrible seulement pour ceux qui restent sur terre jamais pour ceux qui la quittent. Toute l’Europe n’a pas oublié et le reste du monde non plus. Malgré cette évidence cela n’empêche pas les américains d’aller tuer des milliers d’irakiens. Et vous israéliens d’avoir détruit le Liban. A quoi sert le devoir de mémoire, expliquez- le moi s’il vous plaît ?
Vous êtes-vous posé la question à savoir si Jésus vous avait pardonné le fait de l’avoir crucifié ? C’était une personne honnête qui donnait du bonheur sans attendre en retour de l’argent. Alors pourquoi l’avoir tué ? Vous allez me dire que cela n’est pas votre responsabilité car les faits remontent à plus de deux mille ans. Mais c’est un devoir de mémoire de ce souvenir de ce qui s’est passé c’est bien comme cela que vous l’entendez ?
La mémoire n’est pas facultative et ne fonctionne pas seulement dans un seul sens. Je ne sais pas s’il vous a pardonné car je ne suis pas Jésus. Alors comme on ne le sait pas et que personne ne peut réellement parler en son nom, le plus simple est de vous pardonner à vous-même de cette manière vous libérez votre communauté de ce terrible karma. Jésus disait je le répète : « Les premiers seront les derniers ». Peut-être qu’il parlait aussi de vous, vous qui prétendez être le peuple élu et la toute première religion. Le problème quand on et persuadé d’être supérieur c’est le sentiment que l’on donne aux autres, ce sentiment se nomme le mépris. C’est horrible de se sentir méprisé !
La réalité de votre communauté c’est que vos blessures de persécutions vous les avez anesthésiée au travers du pouvoir de l’argent. Et comme dans la religion il n’est pas moral d’aimer l’argent, vous vous êtes caché derrière la religion afin de ne pas admettre votre attachement au pouvoir que représente l’argent. Au travers du mépris que les peuples avaient envers vous, la compensation de cette blessure vous l’avez trouvée au travers de l’amour de l’argent. Car cette puissance vous a donné le sentiment d’exister tout comme les autres, le malheur c’est que vous vous êtes perdu entre ce que vous êtes véritablement et ce que vous voulez laisser paraître. Mais rassurez-vous, vous n’êtes ni meilleur, ni moins bon qu’un autre religieux car vous possédez le même amour pour la sécurité que représente le pouvoir.
Au fil des générations vous avez bâties vos richesses par peur d’être sans cesse attaqué. Pensant qu’en dominant une partie du monde économique vous ne seriez plus importunés ni martyrisés. Mais c’est une illusion car vous n’êtes jamais sorti du rôle de victime. Et c’est à cause de ce rôle que vous êtes restés incompris. C’est ce comportement qui a donné naissance à des personnes telles qu’Hitler, ils ont été vos bourreaux pour vous montrer vos erreurs. Mais même leurs actions ne vous ont pas faites avancer parce que votre victimisation est encrée à l’intérieure de votre culture et dans vos chairs. Il est grand temps de vous remettre en question car sinon demain vous serez encore la proie de personnes qui seront mandatées afin de venir vous faire comprendre vos erreurs. Vous êtes bien entendu des victimes qui sont devenues des bourreaux.
Pourquoi bourreaux ? Parce que quand on pense être au dessus des autres, l’excellence de ce comportement envoie dans la figure des autres du mépris. Si votre religion avait été meilleure elle serait une vérité universelle et vous n’auriez jamais été persécuté. Je vais vous raconter une histoire…
Quand j’avais seize ans j’avais un meilleur ami juif, de grande famille et de bonne éducation. Je le considérais comme un frère et j’avais une adoration et dévotion envers lui sans limite, c’était un amour inconditionnel. Durant nos années d’amitiés je l’ai soutenu à plusieurs reprises dans des épreuves difficiles. Et puis vingt ans plus tard, alors que ma vie traversait l’enfer il ne me répondait plus au téléphone et m’ignorait. Peut-être qu’il ne voulait pas confondre son image avec la mienne ? Peu importe le fait était qu’il m’avait trahie. C’est horrible comme sentiment à pouvoir comprendre au présent que ce que l’on pensait indestructible en fait notre relation n’avait jamais été conçue sur des fondations, elle était superficielle et artificielle. Pour la première fois de ma vie, j’ai ressenti des pensées antisémites. J’ai pensé que leur radinerie était à la grandeur du vide de leurs cœurs. Qu’à force de trahir et de mentir tout était juste dans leur existence. Il n’y a jamais de fumée sans feu en vérité…
Et puis comme le bon Dieu fait toujours bien les choses, il mit sur ma route un autre juif. J’ai été émerveillée de son attitude, de ses valeurs et du respect qu’il avait envers tous le monde. C’était un homme intelligent, un homme de grande valeur ayant compris l’évolution et la modernisation des cultures et de leurs erreurs passées. Il me montra des valeurs fantastiques que même dans notre évolution contemporaine nous pratiquons plus et qui sont la base de tout, la famille. Il a transpercé mon cœur parce qu’il a réveillé chez-moi ce qui est mon plus grand problème le manque de mon père et de ma mère. C’est mon véritable vide intérieur de n’avoir jamais eu réellement eu de famille dans la vibration de mon cœur, c’était une famille virtuelle. On connaît l’existence de ses parents, on les côtoie mais la relation reste vide d’amour et de démonstrations sentimentales, c’est incroyable comme on peut se sentir seule sans amour. Certaines personnes pensent que la solitude se trouve quand il n’y a plus personne autour d’elles, mais solitude là n’est rien en comparaison avec celle d’avoir des gens autour de soi et de comprendre au milieu d’eux que notre cœur est seul parce que toutes ses personnes ne se fréquentes que par intérêts. Et au milieu de tous ses différents intérêts le pire de tous c’est celui de comprendre que certaines personnes dénudées de tout intérêt fréquentent des personnes juste par intérêt de ne pas se trouver seul. C’est à ce niveau là que l’on peut comprendre ce que veut dire l’incompréhension de l’amour. D’ailleurs je suis certaine que c’est à ce degré de compréhension ou du ressenti de ce vide, qu’il soit conscient ou inconscient que se déclenche la tumeur. Car en écoutant le mot tumeur on peut entendre l’écho de celui-ci : « tu meurs ». D’ailleurs dans l’existence de la tumeur son point de départ se nomme le cancer. Et en faisant l’anagramme du mot cancer nous trouvons le mot « cancre ». Ce qui équivaut à dire le refus catégorique de travailler sur soi-même et de reconnaître qui l’on est véritablement. Nous ne sommes que des êtres imparfaits sous tout rapport…
Nous sommes frères, sœurs, jumeaux, cousins, semblables car nous sommes des fainéants, des idiots, des frustrés, etc. Nous sommes tous universels sur ses différents points. Et même si cela peut déplaire il faut tout de même par amour pour nos enfants, faire l’effort d’avancer en leur offrant un meilleur futur. Pour cela il faudra accepter notre image dans le miroir.
D’ailleurs mon ami de cœur m’a fait une confidence, il m’a dit que la religion juive était la plus intolérante de toutes les religions. Qu’au travers de leur propre communauté il existait plus d’une dizaine de branche de cette religion et que personne n’acceptait celle de l’autre. Que le racisme soit inscrit en toute lettre dans la Torah et que de ce fait cela ne pourrait jamais fonctionner harmonieusement. Je suis consciente des souffrances qu’engendrent cette religion et j’en suis profondément triste, mais ce n’est pas une fin en soi et il existe toujours une manière de sortir d’une mauvaise interprétation. Les paroles saintes à mon avis, n’ont jamais existée pour faire souffrir les gens, c’est malheureusement la mauvaise interprétation que les individus en ont faite qui sont la base des abominations et des souffrances quelles procurent. Il faut toujours avoir du recul dans des interprétations, ce sont des paroles qui possèdent un certains nombres d’années et qui ne se sont pas réadaptées à une évolution de la société. Si l’on prend un troupeau et qu’on installe au sein du groupe une évolution à deux vitesses il ne pourra jamais exister d’équilibre. Personnellement, je pense que Dieu lui-même a du s’adapter à l’évolution, car si ce n’était pas le cas pourquoi l’aurait-Il laissé continuer ? Si on n’accepte pas ce concept on freine ne l’évolution et on crée des catastrophes, des disfonctionnements, des guerres, en réalité on crée de la bêtise…
Dans le bouddhisme il est dit que si tu fuis un problème il te reviendra chaque fois de plus en plus grand. Et un beau jour il sera tellement grand qu’il te terrassera. Alors cette formule j’en sais quelque chose car pour être franche je me serais bien passée de faire le travail que je suis en train d’écrire. J’ai horreur de m’exposer et j’ai horreur de la foule, je suis timide. Mais je sais que je n’ai pas le choix que cet acte correspond à mon unique erreur. C’est la vie, dans ses moments là, la seule chose qui nous reste encore c’est de croire en soi, c’est ce que je m’efforce de faire en me moquant de moi-même !
En tout cas, je dois à mon ami qui se reconnaîtra, que grâce à lui je ne suis pas tombée dans la bassesse de l’antisémitisme et du racisme. Cela aurait été fortement dommage qu’à cause de l’attitude d’une seule personne on puisse sombrer dans une généralité. Le mauvais esprit, la bêtise, l’opportunisme ne possède aucun passeport, ni religions c’est en intégralité un esprit unique et UNIVERSEL…
Pierre Desproges était mon meilleur enseignant en terme de dérision, d’ailleurs il y a un texte qu’il a écrit dans la minute de Monsieur Cyclopède qui se nomme : « Evitons de sombrer dans l’antinazisme primaire »
Cyclopède : De nombreux Français moyens ont un préjugé défavorable à l’égard des nazis.
Français moyen : Sans vouloir faire de l’antinazisme primaire, je ne donnerais pas ma fille à un militant du Parti national socialiste. Ah non.
Fille : T’as raison papa.
JEUNE SS (bouquet de fleurs à la main s’en va penaud)
Bon, ben tant pis.
Cyclopède : Et encore, on n’a pas tout dit sur les horreurs et les atrocités de ces gens là. Prenez Hitler par exemple.
Hitler : Qu’est-ce que j’ai encore fait ?
Cyclopède : Eh bien, savez-vous que non seulement Hitler était nazi, mais en plus, quand il était en vacances, il faisait pipi dans la mer.
Hitler (en bermuda ou maillot à bretelles à croix gammée sur le derrière)
Personne n’est parfait…
Cyclopède : ETONNANT, NON ?
Ce à quoi je poserais cette question : « Qui n’a jamais fais pipi dans la mer ? »…
Dans cette dérision ce qui est le plus marquant c’est certainement la dernière phrase : « Personne n’est parfait ». C’est pour cette raison que les actes de cette deuxième guerre mondiale ont pris une ampleur hallucinante. C’est la perfection de ceux qui pensent être parfait qui pousse l’image du dictateur dans la diabolisation. Si on accepte le bien et le mal en nous cela pourra permettre de comprendre ce que les bourreaux sont et pourquoi ils agissent de cette manière. Hitler n’était pas uniquement contre que les juifs, il possédait une haine viscérale contre les catholiques aussi, il partait du principe que l’on était tous des juifs !
Personnellement sur ce point je ne peux que le rejoindre parce qu’en vérité nous sommes issus d’un commencement qui s’est démultiplié et qui donne des milliards de familles. Mais ses familles restent à l’intérieur de l’œuf universel, celui d’une seule et unique famille. D’ailleurs c’est au sein des familles que se trouvent les plus grandes guerres, les héritages, les avantages, les jalousies, etc.
Enfin de compte vu sous cet angle, je suis contente de ne pas avoir une grande famille !
Quoi qu’il en soit avant les juifs il existait une autre religion, et avant encore une autre religion, car elles étaient aussi en perpétuelles évolutions. D’ailleurs Jésus était le Roi des Juifs, alors pourquoi la religion juive ne le reconnaît pas comme tel ? Ce n’est pas à moi de répondre car je n’en sais absolument rien et ce n’est pas mon problème, peut-être juste une curiosité. Mais c’est une question percutante, vous ne trouvez pas ?
L’avantage de la dérision c’est qu’elle permet de dédramatiser et de prendre un peu de recul sur des situations tragiques. Ce ne sont pas des moqueries mais une manière de lâcher prise sur les événements. Dans mon divorce, qui est mon plus grand traumatisme, un expert psychiatre me dit : « Dans quelques temps vous pourrez rire de toute cette situation ». J’aurai pu le frapper tellement que je le trouvais injuste et sans cœur. Ma souffrance était telle que je me disais que cet individu ne devrait pas exercer un tel métier, qu’il était encore bien pire bourreau que mon idiot de mari. Puis les mois passèrent, et plus je me détachais de la situation. Détachement qui n’était pas du au temps mais à la compréhension des actes de ce dernier. En réalité nous étions deux idiots, parce que chacun de nous pensait que nous étions des victimes. D’une certaine forme c’était vrai, il était victime parce qu’il était cocu et j’étais bourreau de l’avoir cocufié et victime parce qu’il était le mauvais mari qui me poussa à le faire cocu. Mais il a été mauvais parce que j’étais mauvaise, et j’ai été mauvaise parce qu’il était mauvais. En réalité nous sommes devenus avec les années et au travers de toutes ces mauvaises interprétations deux énormes frustrés, deux bourreaux, deux mal baisés !
Mon enseignement n’est pas meilleure que le vôtre c’est peut-être pour cela que je réussis à être foncièrement honnête. Dans la connerie des autres on est toujours spectateur de sa propre connerie. Et en réalisant ce que je suis en train de faire je quantifie la taille de la mienne, mais c’est du passé ma seule porte de sortie est de l’admettre et d’en rire, c’est cela même l’art de la dérision !
Il ne faut pas confondre le fait de dire ce que l’on pense avec le sentiment de donner une leçon. Et si une personne pense recevoir une leçon c’est tout simplement parce qu’une vérité se trouve dans le miroir du mensonge de l’aveuglement de celui-ci. Et ce n’est pas parce que l’on est confronté à cette situation et découvert dans sa propre peur du regard des autres qu’il faut déclencher une nouvelle guerre. Il est plus simple de l’assumer c’est plus dur mais bien moins dévastateur. Souvent quand je discute avec des personnes on me traite de Madame je sais tout, bien que ce ne soit pas vrai et heureusement étant donné que j’ai arrêté l’école à quinze ans. Je connais mon équilibre dans mes connaissances car, je pose énormément de questions et je sais en les posant que je suis toujours en évolution de ma propre connaissance. La connaissance est en évolution perpétuelle et ne connaît pas de temps.
Alors maintenant, si je possède des connaissances différentes et que cela puisse donner l’impression que je puisse être supérieure je serais ravie que l’on contre mes propos plutôt que d’insulter mes discussions. Je parle de la même manière que je pense, je n’ai rien à cacher de ce fait je n’ai pas besoin de mentir non plus. Et de plus je sais que je peux être une véritable conne et que cet état est juste étant donné qu’ils font partie de mes gênes et de mes droits. Le succès et les erreurs sont innés en moi, j’ai besoin des deux pour évoluer, l’une pour me fracasser et l’autre pour me relever. Il n’y a pas de honte à être conne aussi ! Etre honnête ne veut pas dire être parfaite. Si l’on estime être parfaite cela voudrai dire que l’évolution de son être s’arrête. Alors effectivement l’éternité pourra paraître très longue quand il n’existe plus d’avenir.
Il y a un événement qui m’a marqué il y a quelques temps. J’étais dans ma voiture avec mes enfants et mon ami, c’était le jour où Benoît XVI s’était rendu à Auschwitz afin de se recueillir. Il s’était retourné vers Dieu et lui avait demandé : « Mon Dieu où étiez-vous ? » et au même moment dans ma tête il y eut une phrase sans voix : « Au même endroit que le jour où mon Fils a été crucifié ! ». Non ne craignez rien ce n’était pas la voie qu’entendait Jeanne d’Arc, c’était une réflexion de mon esprit. Peut-être parce que mon cœur a pu ressentir l’émotion de la mère que je suis envers mes enfants. Je n’ai jamais été connecté directement à qui que ce soit, je n’ai pas eu la chance d’avoir le téléphone rouge avec une ligne directe, mais j’aurais bien voulu cela m’aurait évité de travailler sans cesse sur moi-même et de souffrir ce que j’ai souffert pour en arriver à ce raisonnement…
C’est étonnant depuis toutes ses années où Jésus est mort, personne n’ai jamais vraiment expliqué la douleur qu’avait du ressentir la Vierge Marie en accompagnant son fils mourir sur la croix. Personnellement si cela avait du m’arriver je sais que j’aurai pu être capable du pire et je le dis sans l’ombre d’une gêne. Je suis certaine que la perte de sa chair aurait émotionnellement pour réaction une attitude dramatique voir complètement destructrice et pathologique.
Durant ma séparation avec le père de mes enfants et l’horreur qu’il nous à fait subir, j’ai compris ce que l’intensité d’une souffrance extrême voulait dire. C’est horrible, c’est indescriptible. L’expression vomir ses entrailles n’est rien en comparaison de ce quelle représente, car malheureusement on ne peut vomir ses entrailles. Elles ne sortent pas. C’est une sorte de violents tiraillements entre le ventre et la gorge on voudrait mourir, disparaître. On se trouve dans un état semi conscient. C’est dans ce moment là que l’on prend conscience que l’on est une véritable misérable en réalité que l’on est rien et que le pire est que l’on ne représente plus rien ou alors, que l’on a jamais rien représenté.
Le Père de vos enfants prend du plaisir, il alimente sa haine à voir sa femme essayer de vomir ses trippes en déversant toutes les larmes de son corps. C’est à cette époque que je commençais l’analyse de la deuxième guerre mondiale. Il y a autre chose que j’ai compris c’est que face à la bêtise des hommes on ne peut éprouver de compassion, c’est impossible. C’est peut-être pour cela que Dieu a offert la loi du libre-arbitre pour se protéger lui-même de la sottise des autres. Pour apprendre correctement il faut que le professeur soit sévère et ferme ce qui ne lui enlèvera pas le fait qu’il puisse être sympathique. C’est un peu comme cela que je ressens Dieu, une main de fer dans un gant de velours. Il ne punit pas il enseigne…
Pour mon cas précisément ce fut un enseignement de toute une partie de ma vie et de cinq années intenses et à plein temps. C’est étonnant d’ailleurs de voir que le temps lui-même comporte deux temps. Un temps qui passe vite quand on est heureux et un temps qui ne passe pas quand on est malheureux. Et puis ce même temps peut avoir quatre autres temps, celui des saisons, automne, hiver, printemps et été. Et encore dans ce temps il existe des autres temps, celui des jours, des semaines, des mois et des années. C’est ce que l’on nomme la marche du temps. Est-il trop court, est-il trop long ? Cela dépend des points de vues et de leurs vécues. La certitude c’est que l’on passe la majeure partie de son temps à courir, après qui ? Après quoi ? On perd du temps à vouloir toujours gagner plus de temps. Mais ce temps est insaisissable et incontrôlable. Il est libre et régulier puisque notre montre nous démontre que les aiguilles tournent toujours dans le même sens et dans un même temps. C’est nous qui n’arrivons à cadrer notre emploi du temps au rythme de ses aiguilles. Qui est responsable est-ce les aiguilles du temps ou nous qui leur accordons trop d’importance ? Peut-être ce temps nous permet-il d’avoir un compte à rebours sur le chemin de vie voulant atteindre une reconnaissance ? Mais il est plus malin car chaque année il nous rappelle que le temps passe le jour de notre anniversaire. Quand on est jeune cela représente la fête et ses cadeaux et quand on passe les quarante ans cela représente l’inversion du temps, une impression que les aiguilles vont tourner à l’envers. Un peu comme si on marchait à reculons sur la route qui nous dirigent tranquillement vers la mort. Dans cette inversion on comprend que les rides vont arriver, que son mari commence à être titillé par le vilain petit démon de midi, son sexe lui joue des tours, etc. On commence à douter, à s’interroger est-ce que l’on a bien vécu durant toutes ses bonnes années. Que reste-t-il de cette jeunesse ? Un beau mariage ? De beaux enfants ? De toute manière ils ont grandit et s’ils ne sont pas encore parti ils ne tarderont pas. Si l’on est divorcée et que l’on n’a pas refait sa vie la perspective d’une solitude profonde. Ce n’est pas très réjouissant pour les personnes qui sont en échec de leur vie.
C’est même très triste, c’est quand j’écris ce genre de choses que je mets à aimer les autres. Je sais au fond de mon cœur que je possède une véritable empathie envers toutes ses personnes qui sont rejetées d’un système parce qu’elles ne correspondent pas à une image. Mais de quelle image parle-t-on ? Je ne savais pas qu’en venant sur terre j’étais venue jouer une pièce de théâtre et que la vie n’était que virtuelle et qu’en définitif elle ne serait qu’une illusion. Durant ma vie je me suis toujours battue pour ce que je pensais être juste. Si mon juste est injuste dans les yeux de mon voisin, c’est que son juste est à mes yeux injuste. Toujours la cause à effet nous sommes le reflet des uns et des autres. Maintenant si j’estime que mon juste est correct je dois être capable de l’expliquer et si l’injuste n’arrive pas à m’expliquer qu’il est injuste cela voudra vraiment dire que c’est potentiellement une vérité, en tout cas un nouveau chemin dans une évolution.
Ce genre d’explication j’adore, cela me fait penser à l’histoire du fou qui va rendre visite au fou à l’hôpital psychiatrique. Ils s’asseyent autour d’une table et la toute première chose que fait le fou c’est de convaincre l’autre fou que son voisin d’à côté est encore bien plus fou.
Alors, je vais à nouveau vous parler d’une anecdote après mettre confessée je suis allée à la messe pour communier. Comme je possède aussi mon petit côté opportuniste je me suis dis : « Dépêche-toi pendant qu’il en est encore temps bientôt, tu seras divorcée ! ». Juste avant la communion il y a cette prière qui dit : « Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serais guérie ». Machinalement je répétais cette prière mais au moment où j’allais prononcer la phrase je ne suis pas digne de te recevoir je m’arrêtai nette et regarda la religieuse en lui chuchotant que j’étais tout à fait digne de le recevoir parce que j’avais tout confessé. Elle me répondit en chuchotant que personne ne serait jamais digne de le recevoir. J’étais stupéfaite devant une telle hypocrisie. Même quand on dit la vérité on n’est pas encore suffisamment propre, alors que faut-il faire pour plaire aux dirigeants de l’église ? On ne peut tout de même pas les séduire en utilisant nos charmes féminins cela serait considéré comme un blasphème à Dieu. Cela choquerait l’institution ! Par contre que cette institution ne porte aucune considération aux femmes cela ne dérange personne. La seule femme qui est aimée et respectée c’est la Vierge Marie les autres sont toutes des catins ou des servantes, est-ce que ce genre de pensée ne relève pas d’un certain machisme ?`
Cela m’agasse vraiment, alors je vais vous faire une confession. Savez-vous le rôle que je choisirais entre la Sainte et la Prostituée ? Je prendrais sans l’ombre d’une hésitation celui de la prostituée car cela voudrait dire que je possède l’expérience. Vous savez j’aime la garce qui vit en moi, c’est une gentille garce, d’ailleurs dans l’anagramme du mot garce se trouve caché la grâce, est-ce là que se trouve la grâce de Dieu envers la garce ?
Si l’on vit au milieu des diamants le monde paraît triste et fade, tandis que si l’on vit dans la simplicité tout paraît beauté. C’est à nouveau l’effet des contrastes. Pour finir le sujet de la Vierge Marie, qui était et est sans l’ombre d’une hésitation l’une des plus belles femmes du monde, présentée d’une manière inaccessible et quelque peu froide. Il n’y a que quand on et enfant que l’on sait que la Vierge est accessible parce qu’en Elle on voit une maman. Mais c’est la pureté de l’âge qui donne le véritable ton de ce que représente réellement cette femme. Quand on devient adulte elle nous rappelle constamment à l’ordre en nous culpabilisant d’être imparfaite. Il n’existe ni imperfections, ni perfection, la seule chose qui subsiste entre les deux c’est la réalité de ce qu’elles sont en vérité.
Alors est-ce que la peur de pouvoir être considéré comme mauvaise vaut la peine d’être vécue ? Combien de morts faudra-t-il encore pour comprendre que nous sommes ni bon, ni mauvais ? Que nous sommes justes des êtres peureux parce que nous n’assumons pas le potentiel échec de la confrontation avec le véritable sens de l’amour. S’abandonner à l’amour c’est la chose la plus difficile qui existe et c’est parce que l’on a peur de sa perfection qu’on le fuit. L’amour inconditionnelle comporte le bien et le mal, ils ne font qu’un. L’amour quand il est trahit à pour conséquence la haine. Mais comme c’est une conséquence ce n’est plus la haine mais c’est juste de l’amour qui souffre et qui pleure parce qu’il a mal.
A mes yeux Hitler était la réponse à la mort de Jésus. L’enseignement était de comprendre à quel point Jésus avait souffert, lui aussi était innocent. Car dans le véritable amour il n’existe pas de punition, on ne parle uniquement que de sanctions pour un bon enseignement. Jésus représentait l’extrême bien et Hitler l’extrême mal, Jésus n’avait pas peur mais Hitler avait peur. C’est bien la preuve que tout extrême possède ses revers. Jésus a été crucifié et Hitler à exterminé des peuples entiers avant de se donner la mort. Gandhi a été tué aussi parce qu’il avait l’amour et la foi inconditionnelle, et encore bien d’autres exemples…
Jésus à du avoir très peur le jour où il portait sa croix. J’en suis certaine. Même si cette histoire ne me concerne pas vraiment, je l’aime profondément. Même si durant mon enfance j’ai ignoré le personnage de Jésus et que j’ai préféré celui de la Vierge Marie, je sais qu’Il a cru en sa foi et qu’en son nom il est allé au bout de ce qu’elle représentait pour lui, de l’amour qu’Il portait à son Père et à sa Mère. Je n’ai jamais connu de personne qui pouvait aller aussi loin par amour et je le respect pour cela. Il a cru en son cœur, parce que Dieu est impalpable, c’est ce qui l’a toujours différencié des autres.
Et ce n’est pas pour être dans les bons papiers du Vatican que je le dis, mais parce que je le pense vraiment. Mon Père a été pour moi ma plus grande histoire d’amour, c’est pour cette raison que je le comprends. Quand à Hitler je le comprends aussi, quand l’amour de son père trahis le cœur d’un enfant c’est une douleur de souffrance extrême. Quand on aime vraiment et que son cœur se trouve trahis et rejeté on est capable du pire tout comme du meilleur. Il y a des gens qui pleurent, car ils arrivent à trouver un équilibre au travers de leurs larmes. Il y en a d’autres qui tuent, qui violent ou qui accèdent au pouvoir pour assouvir leur mal profond. Le mal représente les frustrations et ses frustrations existent par l’interaction de ceux qui les ont mises en vigueur. Personne à le droit de condamner une personne qui souffre, ni de la juger. Ses émotions et ses blessures lui appartiennent et elles restent individuelles dans leur vécu. Maintenant si une personne ou plusieurs se permettent de les juger et de les condamner cela n’est pas honnête. Il y a une expression qui dit : « On ne frappe jamais une personne qui est déjà à terre ! ». Pourtant l’histoire de Jésus démontre qu’il a été frappé plusieurs fois pendant qu’il portait sa croix. Le jugement et les condamnations ne guériront jamais personne. Bien au contraire elles ne feront qu’accentuer des cœurs bien endommagés. On condamne des personnes que l’on juge mauvaises, et on les emprisonne. Savez-vous pourquoi on les emprisonne ? Parce que cela rassure certains peureux, si les voyous sont enfermés, cela les rends inoffensifs. C’est un confort de vie et une sécurité pour ceux qui estiment être de bonnes personnes.
Ses bonnes personnes pensent être bonnes parce qu’elles n’ont pas commises de meurtre ou de viol. Par contre d’avoir martyrisé leurs proches au travers de problèmes familiaux. D’avoir utilisé des pressions et des manipulations psychologiques, jusqu’à certaines fois pousser les autres au suicide cela fait d’eux de bonnes personnes ? C’est encore une belle illusion. Si une personne veut avoir le pouvoir sur une autre, il devient au travers de cette action un bourreau ! Personne n’a le droit de posséder un pouvoir sur l’autrui, la seule chose que l’on a le droit de faire c’est d’enseigner correctement aux êtres la manière à savoir comment être responsable entièrement d’elles-mêmes. De comprendre qu’il ne sert à rien de souffrir et d’être nocif envers son semblable. De toute manière personne ne mérite qu’une autre personne se détruise pour elle ! Pour construire son bonheur il faut être centré sur soi-même. C’est en analysant à chaque seconde ce que l’on fait vraiment que l’on ne fait plus de mal aux autres. Arriver à obtenir le parfait contrôle de son être.
Hitler était un enfant innocent que son père et la guerre ont meurtri. Les frustrations d’une existence douloureuse ont rendu ses actes terribles. Maintenant, si mes yeux éprouvent de la compassion envers lui, je n’en ai pas la moindre honte, j’assume ce que mon cœur estime être juste. Et je le dis : « Je remercie Adolf Hitler d’avoir prit comme mission de venir nous enseigner ce que représente le manque d’amour et le manque de reconnaissance. De nous avoir démontré l’imposture que nous avons mise en place et dans laquelle on se plait à vivre par intérêts. Je suis consciente que le capitalisme et les richesses de notre société sont la conséquence directe de la seconde guerre mondiale. Et je reconnais qu’au travers de mes privilèges je suis assise à la même table que lui, cela se nomme l’évolution. Celle-ci est directement liée à son combat, c’est une cause à effet une voie de conséquence». Même si mes propos peuvent heurter les hâtés, les religieux et les autres, cela m’indiffère. L’important c’est de ne jamais se laisser impressionner par les autres pour la simple et bonne raison qu’ils sont tout comme moi, des imparfaits. Maintenant si on n’accepte pas cette voie de fait il reste une possibilité celle de se retirer dans les alpages ou sur une île déserte en Hermite, c’est cela même la perfection de l’intégrité dans toute son intégralité. Et sur le même concept si l’intégrité des personnes ayant perdues des êtres chers dans la seconde guerre mondiale, est-ce que ses personnes pourraient me répondre à cette question ? Est-ce que le fait d’avoir récupéré les fonds familles dans les banques suisses il y a quelques années on compensée la douleur qui subsiste au fond de vos cœurs ? Est-ce que l’argent à le pouvoir d’effacer les blessures du cœur ? Bien sûr je comprends le fait que cet argent est l’héritage des familles juives et non celui des banques suisses, mais je sais aussi que quand on souffre vraiment l’argent devient insupportable et on ne veut pas salir le peu d’intégrité qu’il nous reste en ramassant de l’argent malheureusement devenu abjecte. Car les énergies de cet argent resteront à tout jamais les plus mauvaises énergies et la plus grande perversion que l’humanité n’aura jamais connue. Et cet argent est l’évolution de celui que nous dépensons chaque jour.
Dieu construit toujours correctement un enseignement, l’abus de l’argent à connu ses heures de désolations dans la deuxième guerre mondiale et connaît aujourd’hui l’apogée de sa gloire. Mais comme nous vivons toujours dans les extrêmes des polarités comment va se présenter la chute de son apogée ? Car dans tous les extrêmes se trouvent une chute et une reconstruction. Alors on me répondra que les économistes ont tout prévu et qu’il n’existera plus jamais de gros crash. Je veux bien y croire, mais par contre est-ce que les économistes ont prévu dans leurs statistiques la colère de la nature quand elle va commencer à se déchaînée. Car elle est naturelle et elle va reprendre sa place aussi naturellement qu’elle vit. Est-ce que l’argent et la science infuse vont pouvoir stopper sa colère quand elle va explosée ? C’est mathématique, la nature vit grâce aux énergies de l’univers, tout est naturel. Aujourd’hui à force d’avoir abusé de ses bienfaits nous l’avons abîmée. Mais comme elle est naturelle elle possède aussi son instinct de survie et c’est ce qu’elle nous démontre quand il arrive des catastrophes naturelles. Au travers de ses manques elle puise dans son instinct de survie toutes ses forces et déploie ses forces en se chargeant des énergies de l’univers afin de restée en vie et en équilibre. Alors qui veut défier cette nature ? Certainement pas les peureux que nous sommes.
La sauvegarde de cette nature qui nous est chère est trop lente. Arrêtez de vouloir entasser encore des profits c’est trop tard. Employé vos richesses à l’aider à se reconstruire sinon elle nous emportera tous. Si on attend 2050 pour commencer à entrevoir une reconstruction ce sera beaucoup trop tard. Pour comprendre pourquoi il suffit de réfléchir un tout petit peu. Tout ce qui est naturel est basé sur l’instinct de survie, les animaux, les plantes, les fleurs, les êtres humains et la nature…
Quand nous manquons d’un élément un état de panique se met en place car nous avons peur de mourir. C’est à cause de ce phénomène que l’instinct de survie s’active. Maintenant que ce soit la nature, la faune et la flore et les humains que nous sommes notre point commun se nomme l’oxygène. Dans cet oxygène se trouve des énergies positives et négatives c’est grâce à ses deux polarités que nous sommes en vie. C’est le même principe que l’électricité, il faut deux pôles pour la mettre en fonction. Si demain une de ses énergies venaient à manquer il n’y aurait plus de vie pour personne. Alors quand ses énergies se déséquilibrent et qu’il y a plus de négatif que de positif les problèmes commencent, les déraillements et les disfonctionnements aussi, car tout va de paire. Aujourd’hui le plus grand problème est la nature, elle est en manque et elle suffoque. Son instinct de survie se met tranquillement en place mais commence à devenir important. Il n’y a qu’à regarder les catastrophes naturelles de cet été et le problème du réchauffement climatique. Plus elle va avoir des manques plus elle va aller puiser ses forces dans les énergies de l’univers, c’est cela même son instinct de survie. Les conséquences de cette action connaîtront des catastrophes inimaginables. Tout est déjà écrit dans les écritures saintes d’ailleurs !
Il ne faut pas paniquer car ce n’est pas la fin du monde, la nature à toujours démontrée aux hommes qu’elle était plus forte que tout. Elle est la première création de Dieu, c’est son essence. Si la nature n’existe plus, plus rien d’autre ne pourrait exister. Alors la force de Dieu se trouve à l’intérieur de la nature. C’est une sorte de combat entre les hommes et indirectement contre Dieu, à votre avis qui va gagner ? Est-ce la nature qui va reprendre sa place en exterminant sur son passage des millions d’êtres humains et des enfants ? Ou est-ce l’homme qui va gagner contre la nature ? A une question bête se joint automatiquement une réponse évidente : Si les hommes pensent gagner sur la nature cela voudrait dire qu’elle sera morte, mais si la nature meurt les hommes mourront aussi. C’est une interaction les uns ne vont pas sans les autres. C’est peut-être ce qui s’est passé à l’époque quand a eu lieu le déluge.
En écrivant cela il me vient une constatation, pourquoi les religions ne se battent-elles pas pour la nature et sa survie étant donné qu’elle est l’œuvre du Créateur ? Peut-être qu’ils n’ont pas eu le temps d’y penser ! Ou alors la perfection ne leur a pas permis de prendre en considération l’importance de la nature ? C’est difficile de gérer un pouvoir, personnellement je déteste cela. Je préfère être une naine aux milieux des monstres qu’un épouvantable monstre au milieu des naines. La vérité, la solidarité et l’intégrité ont toujours été ma nourriture, bien que l’on ait voulu me les retirer personne n’y est arrivé. Pourquoi ? Parce que personne n’est arrivé à tuer l’amour qui se trouvait au fond de mon cœur et qui est ancrée dans les cellules de mon âme. Personne n’a pu acheter ni mon amour et ni mon respect. Aujourd’hui mon combat sera uniquement pour les enfants et tous les enfants c’est grâce à eux que je suis en vie. C’est grâce à leur pureté et leur fraîcheur que je puise mes forces afin de dépasser les conventions des plus vieux. C’est parce que je crois en eux et que je crois à l’avenir qu’ils sont capables de construire que j’irais jusqu’au bout de ce que je pense être juste.
S’il n’existe pas d’autres mondes que les génies en apportent la preuve. L’éternité fait partie de l’avenir, celui qui ne croit pas en l’éternité ne peut pas croire en l’avenir et ne peut pas palper l’Eternel. C’est pour cette raison qu’ils essaient d’exister au travers de leurs acquits. Alors, hâtés ou religieux, combien êtes vous à douter de l’Immortalité et de son Eternité ? Pensez-vous que vos richesses répondront et assouviront ce besoin de savoir ce que représente la peur de l’inconnu ?
Dans la forme de l’esprit et de ses pensées nous pouvons ressembler à Jésus quand nous sommes dans la joie et le bonheur et sinon nous pouvons ressembler à Hitler quand nous sommes malheureux. La discrimination, le racisme voir la xénophobie, la jalousie, le mépris qui ne les a jamais ressentis ou pensé ? Nous supportons les personnes qui font de belles choses mais elles nous heurtent parce que la jalousie nous démontre que nous ne faisons rien pour personne. La bienfaisance est toujours bien vue mais souvent mal digérée. Et quand ce sont des actes racistes, violents, meurtrier ont les condamnent parce que l’on est épouvanté de voir que certaines personnes ont commise de telles atrocités. Mais existe-t-il une interaction entre les mauvaises pensées et les actes ? Bien entendu puisque quand on pense à mal on se connectent à des énergies négatives. Ses énergies se déplacent dans l’air et se connectent à d’autres êtres possédant le même état d’esprit. La pensée et la conscience collective possèdent deux royaumes la bonne pensée et la mauvaise pensée. Si vous restez connecté à des mauvaises énergies trop longtemps vous allez plonger petit à petit dans une déprime, une névrose et ensuite... ?
Si un peuple entier éprouve de l’intolérance à outrance, toutes ses personnes feront appel à des énergies négatives. La conscience et la pensée collective seront actionnée par tout ce peuple en une seule et unique pensée ce qui donnera naissance et actionnera une puissance énergétique sur dimensionnée poussant le pays et son peuple à leur perte…
L’inacceptation des actes d’Adolf Hitler c’est tout simplement qu’il a mit en action les mauvaises pensées des gens. Nous savons que cette guerre a été intolérable mais est-ce que votre forme de pensées est tolérable ? Le refus de pardonner cette guerre vient des personnes qui éprouvent les mêmes pensées mais qui n’arrivent pas à les assumer. Il représente le miroir vivant des personnes racistes, des religions intolérantes, l’inacceptation de l’homosexualité, des handicapés, des gitans, etc…
En fait la société actuelle est encore basée sur toutes ses intolérances, ce qui nous démontre que les êtres humains n’ont toujours rien compris dans les enseignements. Nous ne sommes jamais victime des autres seulement de nous-mêmes. Si vous ne souhaitez plus que des tragédies telle que celle-ci se reproduise il faudra vraiment prendre conscience qu’il est impératif de changer ses états d’esprits.
L’intolérance de l’homosexualité à connue une croissance bien plus forte suite à cette guerre, pourtant ils n’ont pas été épargné dans les convois d’extermination. Peut-être que le fait qu’ils ne soient pas plus prit en considération vient du fait qu’ils n’étaient pas juifs ou catholiques ? Les religions n’ont jamais eu aucunes indulgences envers ceux qui jugent imparfaits ! L’élite religieuse est à la spiritualité ce que la science est pour l’humanité. Des remèdes pour peureux !
Le sida est venu rappeler que le chemin de la sexualité décadente n’était pas la solution. Il ne sert à rien de se perdre encore plus dans des excès, le prix à payer coûte trop cher. On s’abîme d’avantage pour rien en définitif. Le plus merveilleux des médicaments se trouvent à l’intérieur de son cœur il suffit juste de s’y connecter et de lui faire confiance, c’est le meilleur des thérapeutes. L’hétérosexualité tout comme l’homosexualité connaissent des débordements, il ne sert à rien de voir le diable dans des actes défaillants, il est préférable de reconnaître une blessure ou plusieurs blessures incomprises émanant du cœur. C’est certainement par peur de Satan que les religieux ont fait vœu de chasteté. Ils sont resté fidèle à leur Dieu, leur élément masculin et c’est tout à fait respectable et honorable de leurs parts. Mais dans l’anagramme du mot Satan nous trouvons le mot Santa (La Sainte) ce qui nous démontre que l’autre moitié de Dieu est l’élément féminin, sa femme.
Celui où Celle qui vit dans l’amour de son propre être ne sera jamais plus confronté à la peur, et grâce à cela plus jamais personne ne commettra d’horreur que celle qu’a connue l’histoire de l’humanité telle que nous l’avons construite. Malraux finit sa citation en disant cette phrase :
« L’idéal des bourreaux étaient que leurs victimes se pendent elles-mêmes… »
C’est une évidence puisque la peur les aurait empêchés de tuer une guêpe ou une abeille de peur de se faire piquer. Le problème de la guêpe ou de l’abeille est de ne pas savoir si l’on est allergique ou pas. Si l’on va mourir ou survivre ? Et la peur de ceux qui ont tués au nom de leur leader est due à la peur que ce leader par peur d’être tué par eux et ne les tue en tout premier. Voilà ce qu’est la base de la folie humaine la peur des autres par méconnaissance de soi-même.
Si les êtres se connaissaient mieux ils n’auraient plus jamais peur de rien ce serait le parfait équilibre, certainement la voie ouverte sur la paix…
« Pour la première fois l’homme a donné des leçons à l’enfer ».
Ce à quoi je lui répondrai :
« LES HOMMES SE SONT OFFERT LEUR PROPRE LECON … »
« C’est avec beaucoup d’admiration que j ‘ adresse toute ma reconnaissance aux victimes de cette tragédie car vous avez acceptez cette expérience et je vous en remercie. Il fallait beaucoup d’amour et de foi en ceux qu’on aime pour venir leur enseigner ce que veut dire véritablement aimer… »
« Merci aussi à tous les enfants d’avoir accompagnés leurs parents dans les couloirs de la mort sans votre soutient cela aurait été encore bien plus horrible… »
« Un jour peut-être que les adultes comprendront que les enfants ne souffrent jamais longtemps car ils vivent dans l’amour le plus pure qui existe et que même quand une grande personne leur fait mal, leur amour est tellement puissant qu’il réduit ce mal à néant ! »…
« Etonnement, c’est aussi un merci rempli de respect que j’adresse aux bourreaux de l’Holocauste, d’avoir acceptés d’enseigner aux êtres d’aujourd’hui et de demain. Le devoir de mémoire est de très justement ne jamais oublier que nous ne sommes pas des victimes seulement mais aussi des bourreaux. Nous possédons les deux costumes de cette évolution. Quand des groupes de personnes ou des peuples entiers ne veulent pas comprendre l’enseignement, il arrive tôt ou tard que l’aveuglement ne connaisse plus de limite à son enseignement ».
En réalité ce sont les enfants qui viennent éduquer leurs parents. Au travers de l’amour qui existe entre eux, leurs parents se remettent en question afin de ne jamais reproduire les erreurs que leurs propres parents ont faites sur eux…
Et les parents éduquent leurs enfants afin qu’ils puissent obtenir le meilleur de ce qu’ils n’ont eux-mêmes jamais obtenus. Tout est toujours en interaction…
Un enfant doit être libre de ses choix et de son devenir, le travail d’un parent est de l’accompagner à la réalisation de ses choix. C’est la plus belle preuve d’amour que des parents puissent offrir à la chair de leurs chairs. L’amour inconditionnel.
******************************
Et je me demande qui est véritablement Hitler ? Comment un homme peut prendre sur ses épaules la responsabilité de tels actes ? Il croyait en l’existence d’un Dieu, alors en acceptant cette évidence il savait que ses actions comporteraient des conséquences…
Je le remercie d’avoir porté la responsabilité de cet enseignement et comme je l’ai avoué en étudiant la personnalité d’Hitler. Après plusieurs mois, je me suis trouvée dans la situation du jugement entre le cœur et la raison. J’ai eu des coups de panique parce que mon cœur a été plus fort que ma raison et l’a emporté. En toute objectivité et en tenant compte juste de sa personnalité et non de ses actions. J’assume complètement les paroles qui vont suivre devant Dieu à savoir que c’est un homme qui aurait pu séduire ma grande sensibilité. C’est une histoire de cœur à cœur et non de raison à raison. C’est cela même l’essence de l’amour inconditionnel, il y a des choses qui ne s’expliquent pas parce qu’elles appartiennent au cœur…
C’est un grand merci que je lui adresse car au travers de son histoire j’ai compris bien des choses et j’ai pardonné au père de mes enfants les souffrances qu’il nous a infligées. A mes yeux il est un grand humaniste et la responsabilité qu’il a prit sur ses épaules…demeure sans mots…Merci !
Les actions des bourreaux sont toujours explicable il suffit de ne pas porter de jugement. Je comprends que l’on puisse commettre des atrocités parce que toute ma vie j’ai été jugée et méprisée. Pourtant j’ai toujours essayé de donner le meilleur de moi-même cela n’a jamais empêché les autres de me trahir et de me salir. Je ne suis pas une victime je le sais, mais par contre ce n’est pas parce que j’ai toujours vécue dans la vérité qu’il fallait mal me traiter. C’est mon pacifisme qui a fait que je n’ai fais qu’aboyer pour essayer de me faire respecter et même cela n’a pas fonctionné. Par contre il y a une chose que je sais…l’honnêteté ne paie pas sur cette terre, pour réussir à survivre il faut être menteur, tricheur, escroc, parvenu, opportuniste et peureux surtout très peureux. Et si vous possédez toutes ses caractéristiques alors, vous serez aux yeux de la société de véritables génies, une sorte de robots artificiels et superficiels mais toujours bien articulés.
Certaines personnes se demanderont pourquoi je parle ainsi ? Afin d’éviter des quiproquos je préfère répondre simplement parce que la société m’indiffère et que je ne lui dois absolument rien. Ce n’est pas par manque d’amour mais parce qu’elle est tellement fausse que la seule vérité qui en ressort est mon indifférence. Cette indifférence est une protection pour ne plus souffrir des autres elle est ma meilleure amie et ma plus grande alliée. Maintenant si on me demandait pourquoi Hitler a pu commettre de telles choses ? Je pense que je serais capable de l’imaginer. Quand on a la connaissance bouddhique et que l’on comprend le mécanisme de la cause à effet, les actes ne sont que la conséquence interactive suite aux pensés et aux actions des autres. Les individus sont pris au piège de l’illusion des scénarios de la conjoncture planétaire, ils vivent dans la mouvance d’une société active et comme ils ne possèdent pas la connaissance parfaite du bien et du mal ils sont inconscients dans la réaction de leur comportement. Hitler a réussis à aller au bout de son enseignement parce qu’il savait que ses décisions étaient pour le bien fondé de l’humanité. Sa mission était d’enseigner le mal. L’histoire nous a montré ce qu’était le mal mais personne n’a jamais voulu le mettre ou se remettre en question par rapport à lui. Les hommes n’ont fait que juger cette polarité tout en la condamnant ce qui n’a jamais radié les futures catastrophes qui ont suivie cette dernière. Alors, quand des peuples entiers sont sourds et muets il faut appliquer la manière forte, c’est ce qui s’est passé au travers de cette tragédie et elle n’est pas jugeable car si elle l’était ce serait l’esprit de l’humanité qu’il faudrait juger, sa soif abusive de son amour pour l’argent et pour le pouvoir. Qui a envie de juger sa propre médiocrité ?
J’entends déjà un mot qui me colle à la peau depuis que je suis née « elle est complètement folle ». Mais la folie possède aussi son anagramme, elle a de la chance elle en possède même deux : Loi et Foi (ce qui est intéressant c’est que dans le mot loi il manque le f et le e donc le 6 et le 5 pour un total de 11.Et dans le mot loi il manque le f et aussi le e qui nous donne aussi un total de 11 si nous calculons le mot folie en entier nous obtenons le chiffre 29 ce qui nous donne un total de 11). Alors sous cet aspect là j’accepte mon état de folie. En analysant le mot génie nous trouvons aussi deux aspects celui de la gêne et celui de nie (verbe nier) ce qui équivaudrait à comprendre que les génies sont ceux qui ont toujours dépassé le regard des autres. Et il est normal que la majorité était autodidacte car sans conditionnement éducatif rien qui peut arrêter la marche du génie de la pensée. C’est un électron libre qui ira jusqu’au bout de ses pensées. Le génie n’est pas élitiste, ni perfectionniste, c’est un passionné qui croit en l’essence de son cœur. Il ne faut pas confondre le perfectionnisme et la passion, le perfectionnisme est une vision de l’esprit et la passion est la mise en forme et la réalisation de ce que représente la puissance de l’amour.
Nous allons juste regarder un aspect intéressant : la lettre F possède le chiffre 6 et la lettre E possède le chiffre 5, si nous les inversons et les positionnons l’un à côté de l’autre cela nous donne : 56. Si nous prenons le prénom et le nom d’Adolf Hitler en numérologie nous obtenons : 56.
Et si nous prenons le mot folie nous obtenons le chiffre 29, chiffre correspondant à : Bien (21) et Mal (8) pour un total de 29. Le chiffre 29 nous donnant le résultat de 11. Chiffre correspondant à Jésus (11), Lucifer (38 -11) et le signe nazi des SS (11). Mais il correspond aussi aux attentats du 11 septembre 2001 et ceux de Madrid le 11 mars. Est-ce un hasard ou une coïncidence ? A bon entendeur !
Alors, à la question de Benoît XVI « pourquoi Dieu n’est-il pas intervenu face à cette horreur ? ». La seule explication à cette question serait que ce chapitre de la deuxième guerre mondiale aurait été sur le plan spirituel, le plus grand enseignement des erreurs de l’humanité. Celui qui l’avait compris était le Pape Jean-Paul II, de ce fait il avait demandé pardon et pardonné l’Holocauste et toutes les autres guerres. Est-ce que Jean-Paul II est venu sur terre pour porter le poids des pêchés des bourreaux et dans un même temps porter les erreurs des religions ? Jésus aurait porté les pêchés des hommes et Jean-Paul II serait-il venu porter les erreurs des religions ? Et comme nous sommes tous des victimes et des bourreaux nous trouverons aisément une place dans chacune de ses deux cas de figure. Ce qui voudrait à signifier que les actions de l’humanité entière sont pardonnées aux yeux de Dieu. Car le mot pêché appartient aux actions des individus et non pas à leurs âmes.
Dans la notion du pardon, il ne faut pas croire que le grand pardon est suffisant à une conscience. Le plus difficile comme je l’ai déjà dit n’est pas de pardonner aux autres mais d’arriver à se pardonner à soi-même. Car en fait le véritable pardon des hommes ne peut être reconnu que par celui qui a commis ses propres erreurs et à part lui personne ne peut le délivrer de ses erreurs. Dieu n’a rien à voir avec cet état de fait car la décision d’une action fait partie de la loi du libre arbitre et c’est une liberté individuelle agissant au sein d’une collectivité. De temps à autre surviennent des personnes qui réalisent des actions surprenantes et bien souvent incompréhensibles dans les yeux du commun des mortels. Il faut comprendre que ses actions sont là pour réguler les énergies de l’univers. Jésus qui est venu porter le pêché des hommes n’a fait que venir prendre les mauvaises énergies des actions de ses individus mais en aucun cas il est venu porter la liberté de la décision individuelle de leurs actions. Grâce à son évolution et à sa connaissance parfaite il était le seul à pouvoir les maîtriser au sein de l’univers. Il n’y a pas de place privilégiée au près de Dieu, il y a juste une hiérarchie des places dues à l’évolution de la création, la seul chose qui relie le tout au sein de cette grande famille se nomme : « la conscience et la connaissance unique ». Il existe qu’une seule vérité, une seule paix, une seule marche en direction de l’amour universel.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire